Dans les sociétés africaines, certains sont prêts à tout pour être dans l’opulence. La consultation des marabouts, nganga et autres par les agents des sociétés publiques et étatiques sont récurent, c’est le cas de le dire avec la situation que vit le Directeur Général de la sogatra Oyabi Gnala, nommé le 10 janvier 2018 et installé par Estelle Ondo, ministre des transports de l’époque, le 25 janvier de l’année en cours.
Après sa prise de service le 25 janvier 2018, suivi d’un état des lieux, il sera confronté à des pratiques d’un autre genre telle que, le charlatanisme et le mysticisme avec pour objectif d’empêcher le nouveau directeur général de travailler, afin de donner un nouveau souffle de vie à la société gabonaise de transport.
Que les détracteurs retiennent une bonne fois pour toute, que le nouveau directeur général fera tout pour mériter la confiance des plus hautes autorités du pays pour réhabiliter la sogatra. La vigilance et la clairvoyance dans la gestion de la chose publique font en sorte qu’il ait des ennemis, dont la plupart son ses collaborateurs, des personnes qui sont habitué à la gabonitude, j’allais dire à la paresse, oubliant qu’il est temps que l’on apporte un plus à l’entreprise qui doit forcément avoir des résultats en fin d’année.
Nu été cette vigilance et cette rigueur de la chose publique, le nouveau directeur général de la sogatra devait subir le même sort que son prédécesseur Patrick Assélé, qui se trouve toujours dans une structure hospitalière à l’étranger pour des soins intensif.
En bon croyant, et surtout qu’il a la crainte de Dieu, que ses ennemis sachent que le nouveau directeur général de la sogatra à la volonté de travailler avec l’ensemble des collaborateurs sans distinction ethniques, mais malheureusement cela a été mal perçu par certains esprits diabolique qui pour en découdre avec Alphone Oyabi Gnala préfère déposé dans son bureau des fétiches. Nous y reviendrons !