Après avoir terrasse son adversaire par un puissant uppercut gauche poignant lors de l’élection des membres du bureau politique du Parti démocratique gabonais (PDG), ayant coûté à l’ancien président de l’Assemblée nationale, l’éviction de son siège de membre du comité permanent de concertation, Richard auguste Onouviet et Joël ogouma vont devoir se retrouver bientôt autour d’un énième round. Celui de l’investiture, pour le compte du PDG, des futurs candidats du parti au pouvoir a l’occasion des prochaines élections législatives.
Au regard du vent qu’il a en poupe en ce moment dans la capitale provinciale avec la réalisation d’un certains nombres d’actions à caractère sociale, Joël Ogouma partirait déjà avec toutes les faveurs, pour titrer, enfin, sa revanche. Devenir le maitre incontesté de la ville du « grand blanc ». Cela lui permettra de coiffer sur le file de l’investiture, celui qui, jusque-là, se considérait comme indécrottable.
Pourtant, non convaincu d’avoir été battu à la régulière dans un scrutin interne à leur formation politique, Richard auguste Onouviet espérait encore sortir du bout du tunnel. Dans la mesure où il trônait encore à la présidence du perchoir de l’Assemblée nationale. La dernière décision de la haute juridiction de dissoudre la chambre basse du parlement est venue annihiler tous les espoirs de l’homme d’atongowanga. En dépit de la campagne de dénigrement et de division du PDG impulsée dans la ville en vue de faire tomber Joël ogouma.
En effet, Richard Auguste Onouviet devrait comprendre comme le disait Nelson Mandela : » Ce qui se fait pour toi sans ta présence n’est pas pour toi ». C’est dire que les portes du siècle de l’opposition sont largement ouvertes pour l’ancien président de l’Assemblée nationale. Qui avait déjà des accointances depuis l’élection présidentielle d’août 2016. Ce qui fait que Joël ogouma, à ce jour, serait devenu le pestiféré a lambaréné pour Richard Auguste Onouviet et les siens pour être devenu Khalife a la place du Khalife. Pour manifester cette haine, l’ancien résident de l’Assemblée nationale, avait dû boudée, pour des raisons inconnues, sa présence aux festivités de la célébration en différée du 12 mars.