Que veut exactement les Gabonais à l’aune Oligui Nguema? Par Firmin Michel Emvo Nzue

Chers Compatriotes,

Avant les élections triplés du 26 Septembre 2023. J’avais entendu le vœu de plusieurs gabonais dire qu’ils veulent l’alternance au sommet de l’État. Une façon de fustigé la gestion politique, économique et sociale d’Ali Bongo Ondimba. J’ai même entendu plusieurs PDGistes critiqué cette gestion calamiteuse et abracadabrantesque des ressources naturelles du pays.

Le 30 Août 2023, il va y avoir un coup d’État par Oligui NGUEMA et ses collègues. J’ai vue combien le gabonais était content d’être libéré du pouvoir Ali Bongo Ondimba. Ont-ils fait le vœu que le 30 Août soit la véritable date d’indépendance du Gabon.
Tout le monde avait ovationné Oligui NGUEMA et ses collègues ( CTRI ).

Depuis quelques temps, les 101 formations politiques réfléchissent sur la restauration des institutions régaliennes de l’État, sur le nombre de députés, et sénateurs de la transition. Les institutions non constitutionnelle également et bien d’autres nominations.
Nous sommes surpris des coups de gueules qui racontent des histoires sans faire des propositions idoines.

Certains veulent désintégré la cohésion sociale et nationale en racontant des histoires qui ne sont pas justes.
Chaque groupe ethnique voudrait être nommé quelque part. Alors que les mêmes personnes n’ont pas exigée les mêmes choses au pouvoir Ali Bongo Ondimba.

La situation politico-économique et sociale du Gabon actuellement impose d’avoir des réserves sur des analyses qui se font ci et là.
Y’a des audios qui vont d’un sens à l’autre par des activistes.

Pourquoi doit-on critiquer un pouvoir qui a à peine un mois ?
Que propose-t-on exactement en dehors de la critique au CTRI ?

Nous tous sommes observateurs des actes posés par le CTRI depuis sa prise de pouvoir.
Curieusement, certains gabonais auraient aimé que c’est Ali Bongo Ondimba qui gouverne toujours. D’après eux… C’est une sorcellerie !
De solliciter encore la continuité du pouvoir PDG.

Ça sort de la bouche de certains gabonais aujourd’hui. Pourtant hier, ils ovationnaient Oligui NGUEMA Brice Clotaire.

Pour rappel… Ali Bongo Ondimba vous a traîné dans la boue pendant 14 ans. Vous n’avez rien dit. Certains qui gueulent aujourd’hui à la diaspora gabonaise, ne disaient rien. Ali Bongo Ondimba n’avait pas leur temps.

Ali Bongo Ondimba a rabaissé la fonction présidentielle et les institutions de la république, nous n’avions que les yeux pour pleurer en cachette. 😭La gabegie financière  avait atteint des proportions démentielle en s’installant dans tout les services généraux de l’administration publique. Nous n’avions que les yeux pour regarder et de dire « ON VA ENCORE FAIRE COMMENT » était dans nos bouches.

En un mois de travail, qu’a fait le CTRI ?

• 1000 agents de l’éducation nationale ont perçu leurs bons de caisses, c’est rien ça ?
• Il y’a eu plus de 300 véhicules volés acheter avec l’argent du contribuable.
• Le CTRI a perçu en compte séquestre plus de 1000 milliards de francs CFA détenu par la Young Team ( les compatriotes autour de Ali Bongo Ondimba et son épouse Sylvia ).
• Le CTRI a pris la décision de la gratuité des frais scolaires et l’attribution des bourses d’études.
• Il y’a effectivement une batterie de bien d’autres décisions qui vont suivre.
• Le CTRI est en train d’assainir les finances publiques.
Tout cela est vraiment rien ça ?

Si l’on pouvait, la journée du 26 Août 2023 opposé Ali Bongo Ondimba à un Cochon 🐷, ce qui est sûr les gabonais auraient préféré élire le Cochon. Dieu nous fera la grâce de faire mieux. Il nous donnera OLLIGUI NGUEMA Brice Clotaire, c’est quoi votre problème ?Accordez lui du temps, 6 mois… 1 an, 24 mois ( 2 ans) et nous ferions l’évaluation de sa gestion. En plus, y’a un dialogue en vue le mois d’Avril 2024 pour que tout le monde s’exprime et propose. De toute façon ; c’est mon avis.

« Je suis un gabonais normal, qui n’est pas corrompu, qui se fait des analyses pragmatiques et pratiques, qui n’est influencer d’aucun pouvoir pour dire les choses ». Si OLLIGUI NGUEMA Clotaire peut offrir du travail au gabonais, leur offrir les meilleurs conditions de travail, nous donner les infrastructures routières et immobilières. Tant mieux !

Paul Essonne

Journaliste

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