« Point de vue du chargé de la gouvernance au sein du GMP-ITIE Gabon » par Petit-Lambert Ovono.

Dans un appel de Nicaise Moulombi à l’exécutif pour les échanges sur la gouvernance des ressources naturelles, nous tenons à apporter des éclaircissements en notre qualité de membre de la société civile au sein du Groupe Multipartite ITIE Gabon.

Pour que tout le monde comprenne de quoi il est question, il faut rappeler que la gouvernance des ressources naturelles se réfère aux processus et mécanismes par lesquels les ressources naturelles sont gérées et réglementées au Gabon.

Cela inclut la prise de décisions concernant l’accès, l’utilisation, la conservation et la répartition équitable des ressources naturelles, telles que l’eau, les forêts, les minéraux pétrole , gaz, mines) et les terres.

Considérant l’actualité sur le secteur pêche, un exemple de gouvernance des ressources naturelles est la mise en place d’un système de quotas de pêche pour une espèce de poisson menacée. Les autorités établissent des limites sur le nombre de poissons qui peuvent être pêchés chaque année afin de préserver la population et assurer sa durabilité. Les pêcheurs doivent respecter ces quotas et sont soumis à des contrôles pour s’assurer de leur conformité. Cela permet de réguler l’exploitation des ressources marines et de prévenir la surexploitation.

Au regard de cet éclairage, quelles sont les institutions gabonaises à même d’embrasser tous ces sujets en même temps et pour quelle finalité.

La grande question est là.

Débattons sans passion.

Petit-Lambert Ovono, évaluateur certifié des politiques publiques, président de SOGEVAL

Paul Essonne

Journaliste

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *