Oyem: La SEEG opère en mode bricolage, l’incompétence est au rendez- vous.

Les Oyemois sont confrontés depuis pratiquement un mois aux coupures intempestives d’eau et d’électricité, pour pallier  à cette situation qui devient très inquiétante dans le quotidien des habitants de Nkoum-Ekiègn ; d’aucuns procède à l’achat des groupes électrogènes pour alimenter leurs propres espaces, d’autres par contre jettent leur dévolu à la bougie où à la lampe tempête comme au bon vieux temps.

La dame SEEG, devenue ‘’incorrecte’’, aux yeux des populations de par la qualité de leurs services devenus médiocre. Ainsi, pour sauver les meubles, elle a choisi le mode bricolage pour remplir ses missions régaliennes, cette action de moindre importance ne fait pas l’unanimité, d’autant ce mode opératoire qu’elle affectionne de plus pour masquer son incompétence, en procèdent  de temps en temps à coupure par secteur laissant une grande partie de la ville plongée dans l’obscurité et dans la belle cité de Nkoum-Ekiègn qui compte plus d’une trentaine de quartier dont la population tourne au tour de 86.000 habitants selon le recensement effectue dans un passé lointain, ceci relève d’une stupidité extrême de ladite société qui éprouve en ce moment d’énormes difficultés à même de satisfaire ses clients.

A signaler dans cet imbroglio qu’il y a un manque de communication auprès de la clientèle. A la SEEG plusieurs observations apparaissent ; La perte des appareils électroménagers, le secteur économique qui tourne au ralenti tout comme l’administration publique avec les outils informatiques, l’utilisation des bougies avec tous les risques que cela comporte revient en force … L’eau n’est pas en reste,  les clients subissent la même misère avec les robinets qui tournent parfois à sec… il se raconte dans les rues d’Oyem que le technicien engagé pour la mise en œuvre des machines avec l’entretien serait parti sur la pointe des pieds d’autant la société  SEEG  n’a pu respecter à remplir sa part du contrat notamment , sur l’aspect financier …C’est dire que la société d’énergie et d’eau du Gabon qui demande à la clientèle d’être correct gagnerait a montrée l’exemple.

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