« Le Gabon est-il vendu ? » s’interroge Petit-Lambert OVONO.

Si on analyse avec lucidité le comportement des étrangers vivant au Gabon, on arrive effectivement à la conclusion que le Gabon a été vendu. 

Curieusement, ce ne sont pas à des ressortissants de l’ancienne colonie, qu’on accuse si souvent de tous les noms d’oiseaux, mais vendu à des Ouest-africains et à des Libanais qui n’ont rien apporté au Gabon et aux Gabonais, sinon des comportements répréhensibles comme la corruption, le fétichisme, le vol, les assassinats, le faux et l’usage de faux, le blanchiment d’argent, etc.

Mais qui a vendu le Gabon? C’est la question que le peuple gabonais doit se poser et qui mérite une mobilisation de toutes et de tous les gabonais devant la justice.

Il ne s’agit pas d’utiliser la violence contre les étrangers ou contre les Gabonais responsables de ces actes répugnants et de traîtrise, mais de faire éclater la vérité  sur toute l’étendue du territoire et démarrer la deuxième République sur des nouvelles bases et des nouvelles valeurs.

Vendu aux étrangers qui le transforment en nouvelle colonie, le Gabon va bientôt faire sortir ses génies pour retrouver son authenticité.

Que chaque Gabonaise et chaque Gabonais se mobilise pour mettre un terme définitif à cette colonisation.

Le vrai combat est là. Il est patriotique.

Bon week-end.

Petit-Lambert OVONO, évaluateur certifié des politiques publiques, président de SOGEVAL

Paul Essonne

Journaliste

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