Les pleurs de madame Brigitte ANGUILET MBA, PCA de la CNAMGS ne me laissent pas indifférente. Lorsqu’une femme pleure, ses larmes sont à l’image d’une lame tranchante qui peut transpercer et déchiqueter un ou des cœurs. Cette dame est la fille d’un ancien Chef d’Etat et, dans l’audio circulant dans les salons de discussions, elle pleure en nous le rappelant. Elle pleure et clame son innocence dans ce qui se passe à la CNAMGS. J’ignore exactement le fond de ce ‹‹Watergate››, je ne vais donc pas m’attarder dessous.
Notre pays en ce temps de Transition, doit donner à voir, à lire et à entendre *espoir, unité dans la pluralité, développement genré…* Il est hors de question qu’on nous laisse croire autre chose ou qu’on triture les textes de nomination au nom de je ne sais quel règlement de compte dissimulé, une manipulation ou encore des coups bas violents. Non non non et non ! Ne nous ramenez pas ces pratiques humiliantes, assujettissantes et très affligeantes. Ce n’est pas ÇA la Transition. Ce n’est pas ÇA, la restauration de l’HOMME, ce n’est pas ÇA, le développement genré. Ce n’est pas ÇA, le respect et l’application de *L’ESPRIT DE LA TRANSITION.* Ce n’est pas ÇA ce que nous attendons Tous.
Il est pour moi hors de question de soutenir ce qui peut faire du mal ou qui peut faire énormément souffrir une belle âme. Une femme, une mère a pleuré et nous l’avons tous entendu/écouté. Il est pour moi hors de question de laisser ces larmes ou d’autres larmes couler dans un tel contexte. Ce sont des larmes de trop ! C’est insupportable.
Au PRT et au CTRI. Je vous prie d’évincer tous ces bidonvilles ontologiques avec qui vous travaillez !
Au PRT et au CTRI, je demande respectueusement qu’une lumière soit faite et que la dignité de dame Brigitte ANGUILET MBA soit restaurée.
Plus de larmes.
Plus de souffrance.
Plus de décès à la Mboulou Béka.
Plus de traumatisme.
Plus de…
Le devoir moral de nous le rappeler.
Sandrine NGUÉMÉBÉ ENDAMANE
