Le développement de l’Afrique nécessite des entreprises étrangères venues de l’Occident pour investir massivement dans ce continent où le peuple n’arrive pas à jouir des richesses de son sous- sol. Une très bonne affaire à condition que le contrôle des économies soit aux mains des nationaux.
C’est vraiment une bonne affaire, que de venir investir en Afrique pour ces grandes entreprises de l’Occident, qui font la pluie et le beau temps. L’Afrique aujourd’hui, en matière de perspective de croissances économiques, octroie de nombreuses opportunités, notamment avec la digitalisation. Il n’est donc plus prétentieux de dire que l’Afrique est une meilleure région pour investir.
En Europe, certaines entreprises ont besoin de l’argent marocain pour venir supporter leur continent dans son développement. Jusqu’à ce jour, des étrangers viennent au Gabon pour investir massivement. Mais s’il y a des choses spectaculaires, il faut se rassurer que le cœur de l’économie soit contrôlé par des Français. L’Afrique a par exemple besoin des personnes honnêtes et crédibles pour venir investir, car elle ne peut pas se permettre que le cœur de son économie soit contrôlé par des investisseurs étrangers au risque d’avoir une économie artificielle (spéculation boursière par exemple), où l’argent ne peut pas aider à la construction des écoles, des hôpitaux.
Que les Africains prennent conscience qu’aucun pays au monde n’a été construit ni par des étrangers, ni par la banque mondiale (BM) et encore moins par le Fonds Monétaire International (FMI). Des pays comme Singapour, la France, après la guerre, même l’Angleterre, ont été construit par les enfants du pays. Tant que les Africains, ne prendrons pas le contrôle du continent, avec évidemment l’aide des partenaires, venant avec des offres ‘’gagnants – gagnants’’, avec de bons leaders en place, l’Afrique ne pourra pas se développer.
Il serait judicieux que les investisseurs occidentaux avant de faire leur choix prennent en compte la stabilité politique de certains pays pour ne pas le regretter tôt ou tard.