Du haut de ma soixantaine, je peux affirmer haut et fort que l’avenir appartient aux jeunes. C’est une loi de la nature souvent négligée.
En effet, chaque génération est suivie par une autre génération plus jeune. Évoquer cette question appelle chacune des deux générations à être consciente de ses responsabilités vis à vis de l’autre.
Celà implique et suggère que le développement et la prospérité de notre pays, de notre ville, de notre village dépendent en grande partie des jeunes générations.
Les jeunes doivent être considérés comme les leaders potentiels, les innovateurs et les agitateurs du changement. Ils apportent des idées nouvelles, des perspectives différentes et échangent des expériences variées. En investissant dans l’éducation et le développement des jeunes, les plus âgés contribuent à la création d’un avenir meilleur pour leur pays.
Les secteurs à développer pour matérialiser cette vérité sont par ordre d’importance l’éducation. Il est essentiel d’offrir une éducation de qualité aux jeunes gabonais.
L’éducation doit être accessible, adaptée et approfondie pour que les jeunes acquièrent les compétences, les connaissances et les habiletés nécessaires pour réussir dans la vie.
De même, les jeunes doivent être encouragés à participer activement à la vie de la communauté et à prendre des responsabilités. Cela peut être réalisé par le biais de projets de service, de la création de groupes de discussion ou de clubs de jeunes, pour encourager la participation et la prise de décision.
Il est important de valoriser les talents et les compétences des jeunes et de les utiliser pour le bien de notre pays.
En somme, cette vérité sur « l’avenir qui appartient aux jeunes » souligne l’importance de considérer les jeunes comme des acteurs clés dans le développement et la prospérité du pays.
En investissant dans leur éducation, en les écoutant et en les encourageant, l’État contribue à l’avenir meilleur et plus prospère de notre pays.
Préparons donc notre demain.
Par PETIT-LAMBERT OVONO ÉVALUATEUR CERTIFIÉ DES POLITIQUES PUBLIQUES, PRÉSIDENT DE SOGEVAL
