La mise sur le marché du Covid-Organics, remède contre le Covid-19, par le Président de Madagascar Andry Rajoelina a mis à mal l’OMS et plusieurs lobbies pharmaceutiques et financiers.
D’ailleurs, le chercheur Emma Djinghs déclare : « C’est surprenant, pas étonnant. Qu’a proposée l’OMS ? Rien. Cette institution onusienne se comporte aujourd’hui comme le pompier, qui s’en va attaquer les incendies où il n’y a pas de feu. Mais ça ne vaut pas la peine. On appelle ça le déclin d’une société qui a détruit la nature, qui a voulu tout changé, une société qui s’est faite Dieu. Je ne parle pas de tous les Occidentaux, parce que mes propos n’ont jamais été racistes. D’ailleurs, j’ai été formé chez les Européens pour être médecin, et en particulier pour la Chine, en Virologie.
Il faut savoir reconnaître certaines choses. Les balbutiements occidentaux n’ont rien avoir avec ce qui se passe sur le terrain. Ils n’ont rien proposés, ils ont raté, ils ont perdu. Et le Président malgache, vient dans un langage très simple, véridique, convaincre ses conquistadors, qui n’ont pas honte de poser des questions ronflantes parce que la médecine africaine a ceci de particulier c’est qu’elle ne détache pas les éléments de l’ensemble d’une plante. Une plante bouillie peut faire juste extraire le principe actif pour le bien, parce que la majorité des plantes africaines sont des légumes.
Je connais un endroit au Kenya chez les Bushmen où l’Artemisia est un légume qui se mange avec le sorgho. Quand on le mange comme ça, il n’y a pas l’OMS pour dire que c’est mauvais. Mais lorsque l’Artemisia nous délivre de la mort, ça devient un problème pour l’Afrique. Sans oublié, qu’ils ont fait des choses impossibles. Alors le Covid qui est naturel et qui n’a que seul effet indésirable la guérison des gens ça énervent ceux qui souhaitent que les gens soient malades.
Madagascar a ouvert une sorte de pavée dans la marre qui va permettre de reconnaitre la valeur de l’Afrique parce que ce n’est qu’un jet. Il nous révèle l’Artémisia aujourd’hui, mais pendant que le monde regarde l’Afrique qui résiste malgré quelques bobos, qui font que les faux morts du Covid soient comptés parmi les Covidés, alors qu’il s’agit des maladies normales, les tests faux distribués en Afrique, la BCR qui ne peut pas spécifier du SRAS et autres. Je dits qu’il n’y a pas de morts du Covid en Afrique même si ça gène. Nous savons luttés contre les grippes. »
Il n’y a plus de politique africaine de l’Occident. Il y a une politique que nous pouvons conduire, il y a des amis, il y a des gens avec qui on est d’accord, d’autres non. Mais il y a surtout des continents que nous devons regarder en face. Les barrières (entre une Afrique francophone ou une Afrique anglophone, entre une Afrique du Nord et une Afrique subsaharienne, entre une Afrique francophone et lusophone aussi) qu’on a longtemps mises dans nos représentations, dans nos lectures politiques, dans nos analyses, ce ne sont plus les barrières de l’Afrique d’aujourd’hui.
Toutes ces barrières-là sont artificielles, elles ne viennent que plaquer en quelque sorte un passé qui doit passer, des représentations qui ont été, des constructions qui doivent évoluer.
Ainsi, le changement de méthode en Afrique doit se poursuivre de manière indispensable, où nous devons être plus efficace, plus au contact des besoins du terrain, en ayant davantage collectivement une culture de l’évaluation.