Un fait désolant devenu de plus en plus visible au Gabon, des jeunes filles s’habillent vulgairement sans crainte et sans panique lors de leurs sorties variées. certains sortent des maisons presque nues avec certainement la complicité des parents, d’autres par contre ont une n’autre tenue qu’elles mettent après avoir franchit le périmètre et là elle deviennent incontrôlable et se prennent pour des femmes alors qu’il n’en est rien.
Des adolescentes se vêtissent de plus en plus mal et de manière vulgaire exposant et branlant aux yeux de tous, seins, fesses, ventres, cuisses voire la partie la plus intime de la femme. Des vêtements moulants et très serrés dessinent le plus souvent la silhouette du *pays bas*. Des jupes et des culottes sexies trop courtes dévoilant les pochettes du fessier, des robes presque transparentes, des leggins traçant tout le potentiel avant et arrière train de la femme etc.…
Un mal qui participe à la dégradation des mœurs, des valeurs morales et intrinsèques africaines et en particulier celles du Gabon où la jeune fille devait se vêtir dignement sans exposer les parties les plus intimes du corps mais aujourd’hui est influencée par la culture d’ailleurs et surtout celle de la mode comme on le dit en ce millénaire, une façon de se vendre au plus offrant, car qu’est-ce qui pourrait bien justifier cela?
Dans certains pays comme le Brésil où les femmes s’habillent vulgairement pour des raisons de prostitution ou du fait d’un climat plutôt très chaut comme en Floride, aux Etats-Unis et cela s’observe au niveau des plages ou dans des domiciles. Toutefois ne dira-t-on pas qu’il y a des parents démissionnaires ou encourageant ce style vestimentaire dès lors qu’ils ne disent mots à leurs filles mal habillées qui se laissent influencer par des stars du monde entier. Un fait qui d’ailleurs, peut avoir plusieurs conséquences : des agressions sexuelles, des maladies sexuellement transmissibles, des suicides….Que dire de l’Etat qui devrait mettre en place des patrouilles pour traquer ces adolescentes.
L’obscénité de cette génération devrait à priori susciter à une prise urgente de mesures pouvant recadrer la jeune fille gabonaise en perdition des valeurs typiques de base de la femme. Les effectifs des agents de police et de gendarmerie étant pléthoriques, le ministère de l’intérieur pourrait créer un service de police ou de gendarmerie pour la sauvegarde ou la préservation des valeurs gabonaises. Il y a quelques années, une vidéo devenue virale dans les réseaux sociaux montrait les agents de la police de la Guinée équatoriale taper des jeunes filles qu’ils avaient appréhendées parce qu’elles portaient des vêtements indécents, dévalorisant la femme africaine. Pourquoi pas une mise en place d’une taxe de mauvais accoutrement en public ou autres sanctions au Gabon? Où tout simplement ramené la sécurité mobile.
