La journée Mondiale de l’eau le 22 mars prochain.

La Journée mondiale de l’eau est une célébration internationale et une occasion d’en apprendre plus sur les sujets liés à l’eau. C’est également  l’occasion d’en parler autour de vous, d’agir et de changer le cours des choses. L’objectif est d’attirer l’attention sur l’importance de l’eau et de promouvoir la gestion durable des ressources en eau douce; elle se célèbre le 22 mars de chaque année depuis son adoption le 22 décembre 1992.  La célébration du Gabon sera sous le thème : L ‘accès à l’eau pour tous.

Le samedi 22 mars trois allocutions  seront au centre de l’évènement notamment celle des représentants  de la BAD, du coordonnateur Résident des Nations Unies et enfin du ministre Gabonais de l’eau, de l’énergie  de la valorisation et de l’industrialisation des ressources minières.

Il y aura également au menu la présentation de la gouvernance de l’eau de l’eau au Gabon ; du projet PLAEPAL et ses enjeux ; le rapport mondial des Nations Unies sur la mise en valeur, suivi de la sensibilisation  des jeunes (lycées et collèges) sur la gestion, l’utilisation et les métiers de l’eau. Au finih il y aura  un atelier de formation sur la potabilisation de l’eau ; sauf modification de dernière minute.

La Journée mondiale de l’eau 2019 a pour thème «Ne laisser personne de côté». Il s’agit d’une adaptation de la principale promesse des ODD à l’horizon 2030: Tout le monde doit pouvoir  bénéficier des progrès accomplis en matière de développement durable. L’une des cibles de l’ODD 6 consiste à assurer, d’ici à 2030, l’accès de tous à l’eau et une gestion durable des ressources en eau. Concrètement, cela signifie qu’il ne faut laisser personne de côté.

À l’heure actuelle, des milliards de personnes ne disposent toujours pas d’eau potable – chez elles, à l’école, à la ferme, à l’usine, etc. – et luttent pour survivre et se développer. Les groupes marginalisés – femmes, enfants, réfugiés, peuples autochtones, personnes handicapées et beaucoup d’autres – sont souvent négligés et font parfois l’objet de discrimination quand ils tentent d’accéder à l’eau potable dont ils ont besoin et de la gérer.

Paul Essonne

Journaliste

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