Ismael OCENI aurait acquis un avion d’une valeur de plus de 60 milliards de francs cfa.

L’information a été révélée par l’activiste Jonas Moulenda dans une publication sur sa désormais célèbre page Tik Tok.

Dans ses révélations l’activiste  Jonas Moulenda affirme que l’ex Imam en chef aurait acquis un avion de type Golf Stream G700 d’une valeur d’à peu près 62 milliards de francs cfa. Selon toujours l’activiste, cet argent qui  proviendrait des caisses du trésor public devait servir à financer la campagne électorale d’Ali Bongo Ondimba et du PDG en 2023.

L’activste soutient que l’avion a été acheté aux Etats-Unis et convoyé au Benin. Cet avion devait ensuite prendre la destination du Gabon une fois l’élection terminée. Mais malheureusement pour l’ex Imam la providence a mis fin à cette forfaiture qui vient renforcer les appréhensions des gabonais quant au machiavélisme de la légion étrangère qui n’avait aucune autre ambition que celle de mettre  le Gabon et les gabonais à genoux.

A l’analyse,  ces révélations qui ressemblent à du déjà entendu et à du déjà vu,  l’on est tenté de se demander à quoi aurait  servi l’interrogatoire d’Ismaël OCENI au B2 ? Parce que  pour l’opinion qui suit l’actualité à travers les posts de Moulenda ce qui est sur et certain c’est qu’il y a une part de vérité dans ce que l’activiste soutient.

Par ailleurs, de nombreuses  personnalités proches d’Ali Bongo er Sylvia croupissent aujourd’hui dans les geôles de sans familles pour des soupçons de détournement. Comment comprendre alors que le chef des faiseurs de rois Dahomey se retrouve simplement en résidence surveillé alors que des centaines de millions ont été retrouves chez son  fils et ses adjuvants ? L’opinion reste persuadé que la rumeur persistante au sujet de l’acquisition de cet avion n’a certainement pas échappé aux éléments du B2 qui excellent dans le renseignement. La transition c’est aussi cela. Une justice impartiale et juste pour tous. La transition aime t-elle les uns et chérie les autres ? Allons comprendre…

En d’autres termes il faudrait que lumière soit faite sur cette affaire d’avion acheté au frais du contribuable gabonais.

Paul Essonne

Journaliste

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