L’école gabonaise se transforme progressivement à Sodome et Gomorrhe. Les faits divers sur les relations sexuelles contre nature dans les établissements scolaires deviennent récurrents et défrais souvent la chronique. Le dernier fait divers en date s’est déroulé, il y a près de deux semaines au quartier Montalier dans le 6ème arrondissement de la commune de Libreville. Un professeur de français au lycée Bâ Oumar a sodomisé son élève mineur en classe de terminale.
Les faits se déroulent au domicile des parents en leur absence. En effet, il y a deux semaines, un professeur de français qui avait pour habitude de donner des cours à l’élève avant de désirer ce dernier se sont retrouvés dans la chambre. La maman de la mineur de retour de ses occupations va surprendre les deux dans l’une des chambres de sa maison en plein ébat sexuel. Cette dernière n’en revenait pas. Choqué elle va fermer les deux dans la pièce avant d’alerté la police judiciaire. Une fois sur la place les agents de force de l’ordre et de sécurité vont mettre la main sur le professeur et l’élève.
A la police judiciaire, l’élève passera un jour et le professeur une semaine après plusieurs tentatives d’arrangement à l’amiable avant d’être présenté devant un juge d’instruction pour mineurs, curieusement il sera relâché dans cette affaire où les faits sont avérés. Apparemment, ce professeur de français, bien que marié et père de deux enfants serait un habitué des faits.
Ce cas, confirme une fois de plus que les enfants sont dans une insécurité qui ne dit pas son nom. Une affaire de flagrant délit qui malheureusement a permis au pédophile de recouvrir la liberté après son passage devant le juge d’instruction. Comment un individu aussi dangereux peut-il se retrouver en liberté ?
Nous y reviendrons!