Ce service peu fréquenté, mais très important en ce qui est de la santé mentale, n’est pas mieux lotis, il occupe un minuscule bureau en contreplaqué » de l’intérieur ». Cette exiguïté des bureaux montre le peut de crédit qu’accorde les instances supérieures dans ce domaine. Outre des conditions de travail peu commode.
Le service tient, tant bien que mal, grâce à la détermination de l’équipe dirigeante. Dans la ville d’Oyem selon les statistiques, une vingtaine des malades mentaux errent dans les rues de Nkoum Ekiègn. D’autre part contre sont suivis dans leurs maisons et sont une vingtaine. Il y a parmi ses cas, ceux qui ont pu retrouver leurs facultés. Pour la prise en charge des malades, les parents doivent se soumettre à démarche c’est-à-dire remplir certaines formalités d’usage. Avant de procéder à l’identification et à l’interrogatoire. A cet effet, parmi les cas de crise fréquents : la déception dans les foyers, bouffée délivrance polymorphe… font partie des cas de dépression dont fait face ce service. « Le Service de Psychologie et de santé mentale » Ils font de leur mieux pour le suivi des malades mentaux assurés » a déclaré NGUEMA ESSONO Hubert, Chef d’unité Santé mentale, au Centre hospitalier régionale d’Oyem (CHRO).
À noter que tous les 10 octobre de chaque année, marquant la journée de santé mentale. Cette entité administrative se découvre à travers des actions sur le terrain.