Les travaux du 1er forum des organes de gestion administrative des zones économiques d’Afrique (FOGAZEA), ouvert au jardin botanique de Libreville, permettra aux participants de faire des propositions pour avoir des zones structurantes et économiques. Dans cette réflexion il va s’agir également de voir comment attirer un grand nombre d’investisseurs étranger, occasion pour le ministre Hugues Mbadinga Madiya, ministre de la promotion des investissements, des partenaires publics-privés, chargé de l’amélioration de l’environnement des affaires de situer le contexte.
« Au Gabon, il faut le rappeler que la première zone économique spéciale de Nkok a vu le jour grâce à la vision du Chef de l’Etat et a été créé il y a une dizaine d’année avec la mesure d’interdiction de l’exportation du bois, cela pour permettre à ce que le bois soit transformé sur place » a déclaré le ministre.
Toujours dans le cadre de la création d’emploi, le gouvernement vient de décider de créer trois zones, la zone d’Iloko à Lambaréné, la zone la Mpassa à Franceville et la zone d’Andeme dans la province de l’Estuaire. Aussi, il est a souligné que la gestion des zones économiques reste à être déterminé à travers des échanges qui se déroulent au jardin botanique.
Le ministre d’Etat, ministre du Développement Industriel et des Petites et Moyennes Industries, Blaise Louembe en lieu et place du Premier ministre Alain-Claude Bilie-By-Nzé empêché avant d’ouvrir les travaux « les zones économique constituent un élément structurant et économique qui vise à promouvoir la croissance et à multiplier les emplois à l’exemple de la zone économique spéciale de Nkok où on retrouve des usines pharmaceutiques, métallurgique, forestière et autres ».
Cette rencontre de Libreville qui s’achève le vendredi 3 février, sera soldée par la signature d’un protocole d’accord audacieux pour le bien des zones économiques d’Afrique.
