Gabon : Les révélations de l’Abbé Luc Lambert Obiang-Nkoghe au peuple gabonais.

Le ministre de Dieu de l’opération politique, de la manipulation de franc Maçonnerie et génocide du peuple à Haute Echelle.

Prêtre de l’Église catholique, apostolique, romaine, mais avant tout citoyen gabonais et ardent adversaire de ce que Saint Jean-Paul II nommait « la civilisation de la mort », j’ai entrepris, devant l’urgence de la situation, d’attirer l’attention de la communauté chrétienne, nationale et internationale sur ce vaste complot qui consiste à « éteindre dans les cœurs humains la vérité même de Dieu ».

Astreint au silence par les règles du sacerdoce, j’ai toutefois décidé de briser cette loi du fait de l’incurie des uns et de la complicité des autres face aux différents maux qui minent notre église et la société gabonaise.

De par mon ministère sacerdotale, les différentes positions que j’y ai occupées et dans mon combat pour la libération spirituelle du peuple gabonais, j’ai été emmené à vivre personnellement, à voir et à entendre certaines choses vérifiables qui sans briser le secret de la confession méritent d’être révélées. C’est donc en témoin oculaire de certains faits, après vérification pour d’autres et dans le souci de présenter la réalité historique que j’ai entrepris d’écrire ces quelques lignes.

Lorsque les limites de la tolérance sont outrepassées, nous entrons dans l’intolérable. Par conséquent, je considère être en communion avec la sainte Église dès lors que mon action plutôt que de nuire, sert au relèvement et à l’édification de la nation gabonaise dans toutes ses fondations et structures. Le Gabon est malade. Il souffre de divers maux dont le plus généralisé est l’ésotérisme. Cette gangrène qui ronge progressivement tous les organes vitaux de son organisme et le conduit progressivement vers la perte définitive de son âme.

Le peuple gabonais s’est laissé duper par le diable qui promet monts et merveilles à tous ceux qui se prosternent devant lui et l’adorent. Sous couvert de trompeuses promesses d’élévation spirituelle et de développement personnel, les cercles ésotériques ont consolidé leur mainmise sur les pouvoirs politiques et économiques au Gabon. Le constat fait de l’état de délabrement général du pays démontre que ces cercles ont échoué à mener le Gabon à l’autonomie recherchée. Notre pays demeure sous perfusion et largement dépendant de l’extérieur aussi bien alimentairement, économiquement que, hélas, politiquement et spirituellement.

Est-ce une attitude sainte de laisser sans réagir toute une population infestée par l’occultisme? Doit-on accepter sans mot dire la perversion des consciences et des attitudes par l’appât de l’argent et de privilèges? Doit-on accepter comme normal ces liens de servitude spirituelle noués par les cercles initiatiques sur des populations naïves, affamées et livrées à elles-mêmes?

Nous avons une saine tolérance et un profond respect pour nos frères maçons, mais cela n’implique en rien d’admettre les erreurs, duperies et mensonges de ses principes ni la subversion de ses actions contre les familles, l’Église et la nation gabonaise.

LE CONTEXTE GÉNÉRAL

L’enregistrement vidéo montrant la cérémonie d’intronisation maçonnique d’Ali BONGO ONDIMBA (ABO) comme grand maître de la Grande Loge du Gabon, après son élection contestée à la tête du pays lors du scrutin du 30 août 2009, transmettait le message suivant à ceux qui encore feignaient de l’ignorer :

LE RÉGIME EN PLACE NE DOIT SA SURVIE QU’A LA FRANC-MAÇONNERIE AU SEIN DE LAQUELLE LES BONGO ONDIMBA/DABANY SE SONT HISSES AU PLUS HAUT SOMMET DE LA HIÉRARCHIE, IMPOSANT AINSI A TOUS SOUMISSION ET OBÉISSANCE.

Le fait marquant de cette cérémonie est le serment prononcé par ABO, la main sur le drapeau national, promettant de défendre les intérêts de la franc-maçonnerie. Par ce geste symbolique, lui, le Président de la République Gabonaise investi après prestation de serment sur la constitution, soumettait la nation gabonaise entière aux intérêts supérieurs de la franc-maçonnerie. « Telle la religion du prince, telle celle du pays ! ». La « journée du drapeau » – pendant laquelle chaque dignitaire du régime renouvelle son engagement à servir la nation – n’est finalement qu’une allégeance à la religion de « l’état-Bongo Ondimba ».

Il est inutile de rappeler que la quasi-totalité, sinon l’essentiel du gotha de l’élite politico-administrative au Gabon est membre d’au moins une obédience maçonnique. Appartenir à une loge permet de se faire un carnet d’adresses, un nom, booster sa carrière, s’enrichir et s’octroyer un parapluie protecteur en cas de besoin. Rares sont ceux qui y adhèrent par convictions. Les frères francs-maçons détiennent ainsi la totalité des postes de présidents d’institutions constitutionnelles, de membres du gouvernement, de représentants dans les deux chambres du parlement gabonais (sénat et assemblée nationale) et tout l’appareil économique, administratif, judiciaire et le dispositif sécuritaire sont sous leur contrôle.

L’engagement à vie, est l’autre particularité de ces confréries. Les « Pactes et allégeances aux forces obscures » lors de cérémonies initiatiques dégradantes filmées (ébats sexuels/homosexuels, orgies, etc.) censées procurer« l’humilité » aux membres, sont en réalité des leviers de pression utiles en cas de besoin pour contraindre un adhérant récalcitrant à rejoindre les rangs. A cela il faut ajouter les dossiers compromettants (détournements de fonds publics ou privés, enrichissement illicite, trains de vie et biens injustifiés, spoliations, litiges de toutes sortes, décisions de justices biaisées, délits, crimes, crimes rituels, etc.) dans lesquels ont trempé des membres que la solidarité des « frères » a sorti d’ « affaires », et qui sont autant de moyens supplémentaires pour leur imposer silence et discipline de groupe.

Voici détaillés en quelques mots, les moyens par lesquels le système BONGO ONDIMBA et alliés s’est imposé à l’essentiel de la classe politique, économique et à l’ensemble de la société gabonaise en général depuis bientôt cinquante ans.

LA PRÉSIDENTIELLE DE 2009 ET L’APPEL A LA CANDIDATURE UNIQUE DE L’OPPOSITION

Acte 1 : Le décès du Président en exercice Omar BONGO ONDIMBA en juin 2009, dont les circonstances sont toujours tenues secrètes (on parle d’empoisonnement), a ouvert la voie à une période d’intérim -assurée par feue Rose Francine ROGOMBE (Présidente du Sénat) – qui a abouti aux élections présidentielles anticipée du 30 août 2009. Cette disparition, événement majeur dans la vie politique gabonaise, est survenue après celles également controversées en 2005 de Georges RAWIRI alors Président du Sénat (véritable numéro 2 du régime et pion essentiel sur l’échiquier des relations franco-gabonaises), puis de la première dame Édith Lucie BONGO ONDIMBA en début d’année 2009. Certains chroniqueurs de la vie politique gabonaise ont vu dans ces décès successifs l’adage local qui veut que « pour atteindre et abattre un Okoumé, il est obligatoire de déboiser aux alentours de celui-ci ». Et ce n’est un secret pour personne au Gabon que ABO entretenait des relations exécrables avec la défunte première dame, et que Georges RAWIRI (fidèle ami et intime d’OBO) constitutionnellement successeur intérimaire en cas de vacance, n’était « pas d’accord pour laisser ‘’un biafrais’’ accéder à la magistrature suprême au Gabon ».

Omar BONGO ONDIMBA disparu, d’éminentes personnalités françafricaines dont son beau-père Denis SASSOU NGUESSO (protecteur du clan devenu) et Paul BIYA, par solidarité avec la progéniture d’un membre du club des dictateurs africains, se chargèrent par des menaces de mort et de déstabilisation, de décourager toute candidature dissidente dont celle de Casimir OYE-MBA, et rallièrent d’autres à la machination en cours.

Acte 2 : L’écartement d’AMO du stratégique Ministère de l’Intérieur (en charge des élections) du gouvernement Paul BIYOGHE MBA 1? Manœuvre politicienne servant à écarter ‘’un fang’’ de cette position hautement stratégique (le régime BONGO ONDIMBA ayant fait de ‘’l’épouvantail fang’’ son fonds de commerce) et à l’adouber comme farouche contestataire de la manœuvre de haute trahison en cours d’exécution. AMO en a profité pour se présenter comme « LE CANDIDAT DE L’INTERPOSITION » pour barrer la route  » AUX DIFFÉRENTES OPPOSITIONS » constituées d’une part des apparatchiks du pouvoir-PDG hostile au courant des Rénovateurs ; et d’autre part des revanchards qui comptaient régler des comptes au régime BONGO ONDIMBA, tout en se vengeant des « membres du clan » qui ont voulu se débarrasser de lui. Omar BONGO ONDIMBA disait lui-même « préférer un opposant altogovéen à un PDGiste fang ». C’est dire toutes les brimades, frustrations, suspicions et contrôles systématiques que les membres de cette communauté ont toujours subi et subissent encore quelque soient leur engagement et loyauté au régime. Loyauté d’AMO lourdement mise en doute par un certain Jean-Pierre LEMBOUMBA LEPANDOU alias ‘’Monsieur coffre-fort’’, ‘’l’homme qui ne travaille pas avec n’importe qui’’ (par « n’importe qui », comprenez ‘’les fangs’’). C’est cette loyauté que AMO (tête-pensante du système BONGO ONDIMBA depuis le milieu des années 80) n’a cessé de proclamer durant sa campagne, lui (le faux) Moïse à l’endroit de ses suspicieux et frileux alliés de la cour de pharaon ‘’sa’’ famille idéologique.

La campagne d’André MBA OBAME et ses déclarations (1) « j’irai jusqu’au bout », (2) « Personne ne me volera ma victoire » sous-entendaient : (1) « J’irai jusqu’au bout de mon alliance avec le clan BONGO ONDIMBA», et (2) « Le plan en exécution est le fruit de mon travail, et je refuse d’en être tenu à l’écart».

La destruction des émetteurs de la chaîne TV+ ? Simplement des opérations de manipulation pour « se victimiser », attirer l’attention et les faveurs de l’opinion publique. Ses empoisonnements successifs par Francis SALLA NGOUABAUD ou par des personnes présentées comme traitres dans son entourage ? Les pratiques occultes vaudou contre lui attribuées à Maixent ACCROMBESSI ou à des marabouts venus d’Afrique de l’ouest? La destruction et la confiscation du matériel de transmission de sa chaîne TV+ ? La destruction de ses biens et entreprises privées? Simplement des opérations stratégiques en vue de le légitimer dans ses vêtements de martyr « leader de l’opposition ». Les peines d’interdiction d’émettre de TV+ se justifient par le souci d’empêcher l’expression libre de certains chroniqueurs indépendants ou tout simplement de faire oublier la diffusion du fameux publi-reportage (existe-t-il vraiment ?) sur le voyage d’Ali BONGO ONDIMBA au Nigeria auprès des siens. Exigeons aujourd’hui aux proches d’AMO ainsi qu’au Directeur Général de TV+ la diffusion de cet élément au moment où le débat sur les origines d’ABO n’est toujours pas tranché.

L’appel à la candidature unique de l’opposition lancé par des Leaders d’opinion (manipulés à leur insu) participait à une vaste campagne de manipulation qui allait faire le lit à la ‘’victoire’’ d’Ali BONGO ONDIMBA. Le refus de l’UPG de Pierre MAMBOUNDOU MAMBOUNDOU de s’y voir associer participait à ce même objectif ; les deux candidats désignés par le l’Etat-BONGO ONDIMBA qu’étaient les frères francs-maçons Pierre MAMBOUNDOU MAMBOUNDOU (PMM) et André MBA OBAME (AMO) devaient servir à étouffer toute idée de contestation insurrectionnelle de leurs ouailles issues des populations frondeuses du Sud-Gabon (Punu-Eshira-Mériè) pour l’un, et du Nord-Gabon (Fang essentiellement) pour l’autre ; et d’éviter un basculement (alliance Fang-Punu) de l’électorat en faveur de l’un ou de l’autre préjudiciable au candidat PDG sociologiquement minoritaire (alliance Téké-Nzébi), le vote au Gabon étant tribalisé par le pouvoir BONGO ONDIMBA et son système d’abrutissement des masses dénommé « géopolitique ».

Les lamentations de l’ambassadrice des U.S.A du moment, selon wikileaks, sur le peu d’entrain de ces derniers (AMO et PMM) aux soutiens populaires incontestés, à pousser le système dans ses derniers retranchements suite au hold-up électoral manifeste, témoigne de cette collusion entre ABO, PMM et AMO.

L’objectif visé n’étant pas la prise du pouvoir, mais bien le maintien de privilèges d’une caste de dirigeants ayant tissé des pactes occultes de non agression avec le clan ONDIMBA/DABANY quitte à abandonner le pays aux mains des étrangers – ABO le biafrais, les béninois DOSSOU dit AWORET et ACROMBESSI dit NKANI (‘’le chef’’ en langue locale), Liban SOULEYMAN, Seydou KANE, les syro-libanais, les milieux corses et françafricains.

Acte 3 : La prise du pouvoir étant effective, ABO en Prince contesté ayant conquis illégitimement le pouvoir face à une adversité toujours présente, pouvait dès lors être proclamé ‘’grand maître’’ de la franc-maçonnerie gabonaise et travailler avec l’aide de tout le réseau du courant des rénovateurs à la pérennité de son ‘’règne’’. D’abord, les alliés, complices et témoins gênants : Pierre MAMBOUNDOU MAMBOUNDOU, candidat officiellement classé second du scrutin présidentiel de 2009, souffrant d’un ‘’mal étrange’’ mourut dans des conditions restées floues. La Présidente intérimaire Rose Francine ROGOMBE et son époux disparurent soudainement quelques années plus-tard. Puis les farouches adversaires et les gêneurs : L’ancien ministre et membre co-fondateur de l’UN Pierre Claver ZENG EBOME, atteint d’un mal tout aussi étrange perdit la vie en 2010 en France après un court séjour à l’Hôpital d’Instruction des Armées Omar BONGO ONDIMBA (H.I.A.O.B.O).

S’en sont miraculeusement sortis Jean EYEGHE NDONG, Michel ONGOUNDOU LOUNDAH, Mike JOCKTANE, Charles MBA EKOME, Raymond NDONG SIMA et bien d’autres présents sur une liste importante de personnalités tant de la majorité que de l’opposition, du monde syndicale et associatif et de la société civile hostiles au biafrais. Cet acte 3 demeure en cours d’exécution et sa mise en œuvre accélérée en vue de la présidentielle de 2016.

Pour terminer sur ce sujet, nous affirmons avec certitude que les circonstances du décès d’AMO n’ont rien à voir avec un règlement de compte politique, ni par empoisonnement ou quelque pratique de maraboutage que ce soit. Il serait tout simplement décédé des suites d’une maladie (incurable) qu’il trainait de longue date. Les prétendues « élimination physique » ou « assassinat politique » répandues dans l’opinion ne servent qu’à mettre davantage un voile en direction de l’opinion publique et d’accréditer les thèses fallacieuses d’inimitié ou de mésentente entre les différents camps, ou de jeter l’opprobre sur des leaders réellement en rupture avec le régime.

De même que le fameux rituel ésotérique opéré sur les dépouilles des francs-maçons défunts que « voulait opérer ABO sur la dépouille d’AMO» a effectivement été exercé avant l’arrivée de la dépouille à Libreville.

Encore une fois, comme pour les morts des années 1990, de Port-Gentil en 2009, puis des émeutes du quartier Cocotiers et du siège du PNUD, les populations voulant « empêcher l’exécution de ce rite », ont été bernées ; certains ayant été blessés par balles ou par des armes (chimiques?) indéterminées.

LE RALLIEMENT SPECTACULAIRE DE PAUL MBA ABESSOLE (PMA) A ABO APRÈS AVOIR SOUTENU LA CANDIDATURE D’AMO.

Si les défunts Simon OYONO ABA’A, abbé Noël NGOUA et tous les pères fondateur du Mouvement de Redressement National (MORENA) – premier parti d’opposition à l’Etat-BONGO ONDIMBA/DABANY – pouvaient encore parler! Ils l’avaient pourtant fait, mais très peu les ont écoutés. Luc BENGONE NSI proche de Simon OYONO ABA’A, l’un des derniers acteurs toujours en vie des événements de contestation dits « de la gare routière » en 1981, peut aujourd’hui témoigner de l’infiltration dans les rangs du MORENA d’éléments au service de la françafrique qu’étaient AMO et PMA ; leurs ralliements successifs au pouvoir le prouvera.

Étranger à la cause défendue par les martyrs et prisonniers politiques du Bongoïsme qu’étaient l’abbé Noël NGOUA, Simon OYONO ABA’A, Luc BENGONO NSI et leurs compagnons, Paul MBA ABESSOLE se retrouva proclamé « exilé politique et porte parole du MORENA en France » PAR LA PRESSE FRANÇAISE!!! Sorti du Gabon après une affaire de mœurs (adultère) qui l’opposa à un dignitaire de l’Ogooué-Ivindo du temps où il officiait comme prêtre à Makokou, il s’y trouvait officiellement dans le cadre missionnaire de ses travaux de recherches. Voici comment le mouvement de libération du Gabon fut étouffer et récupérer par des « collabos » agents fabriqués, à la solde du Bongoïsme et de la françafrique. La suite des évènements (conférence nationale, ouverture démocratique et pluralisme politique) pouvaient ainsi se dérouler sans trop de soucis, la situation étant sous-contrôle.

Au départ, prêtre spiritain de l’église catholique romaine, cet initié et toujours adepte des rites animistes fangs Melane et Biéri sans incompatibilité avec le christianisme (selon lui-même! Notez les contradictions de l’homme), pour des raisons d’ambitions politiques du leader devenu qu’il était, fut également initié à la franc-maçonnerie avant de rejoindre le rite vaudou par souci de se rapprocher un peu plus d’OBO dont il servait les desseins.

C’est ainsi qu’il fallut comprendre l’appel au boycott du scrutin législatif de 1990 qui évita au Parti Démocratique Gabonais (PDG) l’humiliation lors de élection législatives de cette année. Le but de la manœuvre étant de laisser mains-libres à OBO et au gouvernement PDG issu de la majorité parlementaire d’organiser la fraude électorale à l’élection présidentielle qui devait le reconduire à la tête du pays.

Les mouvements de contestations qui ont suivi la proclamation d’OBO comme vainqueur étant la libre expression populaire de troupes dont PMA n’avait pas le total contrôle, l’appel dit « des braves » à des pourparlers, lancés par Pierre Louis AGONDJO OKAWE qui aboutira au partage du gâteau des « accords de Paris », n’étant qu’une habile manœuvre de reprise en main d’une situation dont les événements évoluaient vers l’imprévu.

Pierre AMOUGHE MBA, son conseiller stratégique de ces années de braise, l’a déclaré lors de sa sortie officielle des rangs du RPG : « PMA en 1993 avait un accord secret avec Omar BONGO ONDIMBA (OBO) qui devait aboutir à la transmission du pouvoir au leader du Rassemblement National des bucherons (RNB) au terme d’un mandat présenté comme son dernier ». Seuls les inconditionnels bucherons, aveuglés par son exposition dans les médias français, les faux actes de sabotage et d’intimidation montés en collusion avec le régime, ont avalé pareille couleuvre. Le combat de PMA, Pierre André KOMBILA KOUMBA (alors Secrétaire Général du RNB) l’a compris, mais un peu tard, ne consistait pas à l’instauration d’une démocratie véritable pour l’alternance démocratique, ni à la prise du pouvoir. Ce désaccord entre les deux conduisit le MORENA ‘’des bucherons’’ (devenu RNB) à une scission : RNB-KOMBILA et RNB-MBA ABESSOLE qui se deviendra plus-tard l’actuel Rassemblement pour le Gabon (RPG).

Sa candidature au scrutin présidentielle de 2009 ne servait qu’à flatter son égo démesuré de se présenter comme le leader incontesté de la communauté fang, afin de se vendre cher comme à l’accoutumée. Ce statut étant passé à AMO après le scrutin, plus rien ne le retenait dans les rangs de l’opposition. Le refus du RPG d’intégrer le gouvernement Daniel ONA ONDO III participe à la stratégie future de le ressortir du placard pour jouer les trublions lors de la présidentielle de 2016. Rôle que se préparent également à jouer d’autres soi-disant opposants, et avalisé par les milieux maçonniques et françafricains sans qu’aucune garantie de prise de pouvoir ne leur ait été donnée. Leurs partitions se résumeront à de la figuration et à l’émiettement des voix acquises au peuple de l’opposition.

DE LA CRÉATION DE L’UNION NATIONALE (UN) : UNE FUMISTERIE POLITIQUE!

La création de l’UN (issu de la fusion de l’UGDD, du M.A.D et du R.N.R), pour certains de ses pères fondateurs (dont principalement André MBA OBAME et son poulain Gérard ELLA NGUEMA) avait pour visées le musellement des sentiments et aspirations d’une frange importante de la population (Fang notamment), et l’embrigadement des partis politiques et leaders de l’opposition, suite à la présidentielle contestée de 2009 où un individu sans papier d’origine nigériane (biafraise précisément) adopté par feu Omar BONGO ONDIMBA s’est hissé à la tête de l’Etat au mépris total de la constitution gabonaise et des résultats d’un scrutin auquel il n’avait pas droit de participer.

La stratégie politique de ce parti et son effort d’implantation limitée « au pays Fang » participait à cela : présenter l’UN comme le parti des fangs. Sinon comment justifier son ‘’inactivisme’’ dans des zones stratégiques comme la Ngounié, l’Ogooué-Maritime et le moyen-Ogooué quand bien même certains leaders à l’image de Mike JOCKTANE et Joseph JOHN-NAMBO pouvaient jouer des rôles de catalyseurs par exemple dans les deux dernières provinces citées, viviers naturels (familiaux) de soutiens?

Le slogan « Pas de biométrie, pas d’élection » législative lancé par PMM le leader de l’UPG, la prestation de serment d’AMO, la dissolution de l’UN qui en a découlé puis le boycott des législatives visaient à :

– offrir encore une fois une majorité confortable au PDG à l’assemblée nationale (les militants UN et UPG étant jugés incontrôlables ainsi que les potentiels futurs députés sortis de leurs rangs) ;

– Respecter le timing des événements par eux fixés pour le ralliement au pouvoir.

Un confrère prêtre du diocèse d’Oyem, proche d’AMO, me fit la confidence suivante : « La création de l’Union Nationale était une exigence du moment » claironnait en sourdine AMO à ses fidèles lieutenants, le combat mené par son président Zacharie MYBOTO et les siens pour sa réhabilitation ne faisant pas partie de son agenda.

Autre objectif – à moyen terme – de « cette UN des collabos » était d’offrir sur un plateau à ABO le frondeur électorat fang, à l’issue de la fameuse « Conférence Nationale Souveraine » tant réclamée, ou après tout autre accord de partage de pouvoir afin de concrétiser politiquement et sociologiquement l’alliance ABO-AMO (TEKE-FANG) et la substituer à celle TEKE-NZEBI de l’ère BONGO ONDIMBA père.

A titre de rappel, voici comment se termine le refrain de l’hymne du PDG : Le PDG! Le PDG! Le PDG! Le PDG! Le PDG, c’est l’Unité Nationale!!! Ainsi donc pour les AMOïstes, le PDG et l’Union Nationale ne devaient faire qu’UN (avec l’index levé s’il vous plaît, comme le font les militants de l’UN – les conscients et les moutons. Comme un clin d’œil complice au régime BONGO ONDIMBA/DABANY – PDG). De fins stratèges politiques ces AMOÏSTES! Mais surtout des experts en roublardises que Zacharie MYBOTO et les siens n’ont pas vu venir.

Simple observation, dans quel camp se trouvent aujourd’hui les membres et sympathisants de l’aile UN dite des amoïstes???

La machination et la collusion politique éventée, nombre d’amoïstes ont déserté les rangs de l’UN ainsi que le siège de l’ancienne SOBRAGA pour rejoindre sur la pointe des pieds les rangs du pouvoir (sans tambour ni trompette).

  • DE L’UNION DU PEUPLE GABONAIS (UPG).

Pierre MAMBOUNDOU MAMBOUNDOU décédé, La scission de l’Union du Peuple Gabonais (UPG) en tendances UPG – MOUKAGNI IWANGOU, UPG – Mathieu MBOUMBA NZIENGUI, UPG – Bruno Ben MOUBAMBA et en ARENA de Richard MOULOMBA participe tout autant à cette stratégie de tuer toute force alternative à l’offre BONGO ONDIMBA-PDG.

Que dire de Jean de Dieu MOUKAGNI IWANGOU, président d’une aile dissidente de l’UPG et opposant déclaré au régime BONGO ONDIMBA/PDG dont la protection rapprochée est assurée par un élément détaché de la Garde Républicaine?

  • INFILTRATIONS DES MOUVEMENTS DE CONTESTATION

Comment comprendre que lors des manifestations de rue de cette UN dite radicale, des activistes estampillés ‘’amoïstes’’ ne sont jamais mis aux arrêts car avertis à temps au moindre bruit de bottes? Et lorsqu’ils le sont, se voient exfiltrer par des magistrats à la solde du pouvoir, quand ce n’est par un coup de fil du palais présidentiel. Laissant ainsi les vrais contestataires étudiants et citoyens anonymes aux mains de bourreaux, dont ils sont les complices, se faire « humilier, tabasser, et sodomiser » par les geôliers.

Comment des contestataires (amoïstes) travailleurs (fantômes), avec un niveau élevé d’exposition médiatique et d’engagement dans l’opposition radicale peuvent-ils continuer à toucher soldes et primes sans être inquiétés, alors qu’ils répondent aux abonnés absents sur leurs lieux de travail respectifs?

Que justifie le grand train de vie de ces travailleurs licenciés pour leur activisme dans l’opposition ?

Qui finance le séjour de certains en France (principalement). Ces « vaillants (es) » activistes-contestataires fabriqués et rémunérées par le pouvoir, dont les posts et vidéos très inspirés sur internet et dans la presse papier sont rédigés (non par eux/elles), mais par des plumes mises à leur disposition par les tireurs de ficelles tapis dans l’ombre des salons feutrés de la république-maçonnique du Gabon et dont le rôle est comme le cheval de Troie, de détruire l’adversaire de l’intérieur.

Que dire des mises aux arrêts, y compris dans les milieux estudiantins, de certains? Des Coups de pouce de publicité politique pour les légitimer leurs « vestes de leaders contestataires ». Demandez à ces personnes si elles ont été violentées. Que nenni! Certains récits de molestations et tortures étant cousu de fil blanc : des tissus de mensonge! Il est par exemple rare de voir un homme faire le paon dans la presse après avoir subi des violences sexuelles (sodomie)! L’incendie de l’ambassade du Bénin ? Manipulation politique. Où était le gardien de la société de gardiennage SGS ? L’a-t-on interrogé ? A-t-il été sanctionné par sa hiérarchie ?

Comment expliquer que le 20 Décembre 2014, suite à l’interdiction illégale du meeting de l’opposition rassemblée au sein du Front Uni de l’Opposition pour l’Alternance (FUOPA), alors que des zones entières où les partisans de l’opposition manifestaient leur mécontentement étaient quadrillées par les forces de sécurité et de défense, des collaborateurs et proches d’AMO, circulaient quant à eux librement à bord de véhicules banalisés avec des « laissez-passer » pour s’assurer du bon déroulement de la comédie théâtrale? Inutile de rappeler que c’est suite à cette opération de moutonnerie des masses qu’un certain Bruno MBOULOU BEKA trouva la mort dans des circonstances toujours non élucidées à ce jour.

Pour bien enterrer l’affaire – comme dans celle des étudiants sodomisés – et ne pas voir éclater la vérité, nos brillants stratèges commirent Maître Paulette OYANE ONDO, officiellement en rupture de ban avec le pouvoir – pour se charger du dossier. L’enterrement de l’affaire Bruno MBOULOU BEKA fut ainsi consommé, quand bien même sa dépouille repose toujours dans une maison de pompes funèbres de la place et que sa famille éplorée reste dans l’incapacité de faire le deuil de la perte de leur fils.

Demandons à Maître Paulette OYANE ONDO pour quelles raisons n’a-t-elle jamais récusé la décision de justice (?) de la procureure Sidonie Flore OUWE interdisant le recours au médecin légiste Dr NDZIGUE MBA (jugé trop indépendant par le pouvoir) pour procéder à l’autopsie du corps de Bruno MBOULOU BEKA. La famille n’est-elle pas libre de faire appel à l’expert de son choix pour procéder à cette analyse? Pour quelles raisons le Dr NDZIGUE MBA a-t-il été récusé par la Procureure? Fait-il l’objet d’une mesure disciplinaire? Pas que nous sachions. Son expertise est-elle mise en doute ? Encore une fois non ! Si son avis était contesté par les instances judiciaires, ces dernières auraient pu exiger une contre-expertise! Encore aurait-il fallu que la première soit faite! Ce qui grâce à Maître OYANE ONDO, n’a jamais été le cas. Maître OYANE ONDO a-t-elle besoin d’un avis de justice pour opérer le choix de son dentiste ou de son gynécologue? Pourquoi n’attaque-t-elle pas cette décision (?) arbitraire? Je ne suis pas juriste, mais ces interrogations tombent dans le bon sens.

DE LA SOCIÉTÉ CIVILE.

Que dire de cette soi-disant société civile dite libre auréolée de « l’immunité de prix internationaux » récompensant « ses luttes » dont les buts inavoués sont : – Faire du renseignement et infiltrer les mouvements associatifs ; – Mener des campagnes de propagande en (dé)faveur d’un camp ; – De contraindre les gouvernants à abandonner des projets catalyseurs de leurs autonomies économiques, financières et énergétiques au nom d’une prétendue défense de l’environnement, dans des pays parfois sous-peuplé comme le Gabon où l’impact de l’homme sur la nature reste insignifiant.

– De faire du lobbying au profit des puissances étrangères et entreprises multinationales occidentales afin de faire échouer la réalisation de projets dont l’attribution leur échappe.

– De militer en faveur de l’instauration de lois conçues par de puissants lobbies homosexuels internationaux. Lois que ces associations de la société civile dite libre et leurs alliés sont incapables de promouvoir dans le monde arabo-musulman, l’Afrique subsaharienne étant le champ de toutes les expérimentations politiques.

Regrettons la perte d’un véritable défenseur des intérêts du peuple gabonais : Grégory NBGWA MINTSA, mort martyr pour la nation, quand d’autres simulent des violences, arrestations/emprisonnements, tentatives d’assassinat, harcèlements et frustrations.

LES OBJECTIFS GLOBAUX DE CETTE CASTE ET SON VERITABLE VISAGE

A moyen terme, outre les retrouvailles du tandem ABO-AMO (fer-de-lance du courant des Rénovateurs) avec l’un comme Chef d’État et l’autre comme Numéro 2 du régime, tous ces acteurs politiques (les PDGistes émergents comme les AMOïstes) commanditaires d’actes d’intimidation, de violences et éliminations physiques, des assassinats au plutonium ou à l’assiette russe de personnalités civiles et politiques, d’intrigues politiques, des manipulations de l’opinion, de diffamations et atteintes à la respectabilité d’honnêtes citoyens – à l’instar de la France de François HOLLANDE – prévoient de légaliser au Gabon « LE MARIAGE POUR TOUS » ainsi que l’Interruption Volontaire de Grossesse (IVG). Ces textes, élaborés en loges maçonniques comme la quasi-totalité des textes réglementaires majeurs au Gabon, attendent d’être promulgué au moment propice, les circonstances ayant tourné en leur défaveur ; Le fameux mariage traditionnel d’homosexuels en 2014 ayant servi de test pour sonder les réactions de l’opinion gabonaise face au phénomène.

A long terme, l’institution d’une monarchie constitutionnelle au Gabon constitue l’autre cheval de bataille du clan. Pour ce faire, on assiste à un bradage de la nationalité gabonaise en faveur de sujets expatriés incapable de justifier (outre la carte nationale d’identité) par des documents légaux de l’octroi de celle-ci. Il s’agit ici de noyer puis de remplacer les autochtones par des populations aux aspirations et aux droits limitées, et éteindre ainsi toute révolte.

LE CAS ANGE LANDRY MBENG alias LANLAIRE.

Ce personnage homosexuel et franc-maçon, militant pour l’instauration du « mariage pour tous » est simplement un pion au service de la manœuvre de manipulation du clan vaudou – franc-maçon – LGBT visant à : – Semer la confusion dans l’opinion par des accusations et révélations mensongères sur des personnalités publiques ; – Infiltrer les milieux de l’opposition en France ; – Faire du renseignement en faveur du régime ;

– Agiter la menace du déballage de faits d’homosexualité avérée ou fallacieux pour discréditer un adversaire au régime ; – communiquer subtilement, dans ses vidéos faussement outrageantes pour le pouvoir, avec ses complices et proférer des menaces d’assassinat contre ses adversaires.

Ces intimidations ont pour but final de décourager tout franc-maçon ou quiconque oserait s’opposer à l’institution au Gabon du mariage entre personnes du même sexe.

DE LA COMPLICITÉ DES CONFESSIONS RELIGIEUSES ET DES RITES ANIMISTES.

En complicité avec les obédiences maçonniques, rosicruciennes et leurs satellites (Eckankar, les Lion’s et Leo Clubs, les Rotary et Rotaract Clubs), dans cette œuvre macabre de spoliation et de génocide du peuple gabonais, La congrégation des pères trinitaires (sise après l’école catholique sainte Anne en revenant de l’échangeur de la gare routière) et la congrégation du Saint-Esprit (les spiritains, sise en face du séminaire saint Jean), les séminaires Saint jean et saint Augustin (de la gare routière) et Daniel BROTTIER (dans la commune d’Akanda) jouent un rôle moteur d’infiltration des structures de l’Église catholique du Gabon par des jeunes francs-maçons et homosexuels.

Les (véritables) aspirants à la vie consacrée restés fidèles à leur appel jusqu’à la prononciation de leurs vœux se voyant affectés à des missions ou paroisses défavorisées à l’intérieur du pays, ou à l’étranger quand ils ne sont pas purement et simplement remerciés ou conduits au renoncement.

Cette vaste opération se déroulant au Gabon avec « la paternelle bénédiction » des évêques gabonais dont l’archevêque Basile MVE ENGONE et Monseigneur Dominique BONNET, grands maîtres d’obédiences maçonniques au sein même de l’Église catholique du Gabon en total contradiction avec la foi catholique qui interdit toute forme, pratique et appartenance à un cercle ésotérique.

Il faut rappeler que Monseigneur Basile MVE ENGONE a toujours servi de pompier pour éteindre au Gabon toute velléité de libération du peuple du joug de l’Etat-BONGO ONDIMBA. Pour bien sceller son alliance avec le clan, il offrit sa nièce comme concubine à Omar BONGO ONDIMBA dont il enterra le fils Sullivan fruit de cette union, dans son village à lui en total désaccord des us et coutumes fang qui réservent ce droit, outre à la famille paternelle du défunt, à la famille maternelle et non aux grand-père.

La mascarade et muselée conférence nationale « non souveraine » de 1990 a été également présidée par lui (devenu par alliance membre du clan). Autre fait d’armes, le déguerpissement du parvis de la cathédrale Sainte Marie par les forces de sécurité et défense, des déflatés de la CNSS revendiquant le paiement de leurs droits, en totale violation des accords entre le Gabon et l’Etat du Vatican faisant des lieux de cultes catholiques des franchises diplomatiques dont l’accès est interdit aux agents des forces de l’ordre.

De même la marche contre les crimes rituels (et toute tentative de parvenir à la manifestation de la vérité sur nombre d’affaires) a fait l’objet d’une récupération par leurs auteurs, commanditaires et complices situés en premières lignes du cortège.

Par ailleurs la rencontre, suite au décès d’AMO, entre les membres de la famille de ce dernier et ALI BONGO ONDIMBA n’était rien qu’une entrevue entre complices de la manipulation à haute échelle en cours, et non une tentative de réconciliation des deux parties au différend inexistant.

Comment comprendre que des personnalités du clergé gabonais et des leaders catholiques coupables de pédophilie et agressions sexuelles sur mineurs, de pédérastie, de lesbianisme, cités dans des affaires de crimes rituels sont couvertes par les plus hautes autorités ecclésiales et judiciaires ?

Comment un certain prêtre se réclamant de la mouvance charismatique dont l’homosexualité est connue depuis ses années d’études à l’ancienne École Secondaire des Cadets de La Police (ESCAP), et qui a fait l’objet, par Rome lorsqu’il était en France, d’une interdiction d’exercer en raison d’affaires de mœurs et spiritualité douteuses, pouvait-il encore exercer un ministère de prédication public au Gabon et entretenir librement et ouvertement un réseau de jeunes « leaders catholiques » fabriqués au sein de cercles ésotériques?

Comment la communauté des Béatitudes, un vaste réseau de proxénétisme pédéraste et lesbien, de pédophilie, de cooptation dans les loges maçonniques et dont certains membres sont associés à des affaires de crimes rituels parvient-elle à se sortir d’ « affaires » malgré toutes les accusations portées contre elle? Comment l’internat des filles de Sainte Marie et l’orphelinat ‘’Arc en ciel’’ du lieu-dit « vallée Sainte Marie » peuvent-ils être des lieux de proxénétisme et d’homo-sexualisation de la jeunesse sans que la hiérarchie catholique ne s’en émeuve ? Comment et pourquoi des prêtres, religieux et religieuses catholiques reconnus comme homosexuels, fétichistes, francs-maçons et homicides pour certains, n’ont-ils jamais fait l’objet de mesures disciplinaires et judiciaires?

Comment le Renouveau Charismatique Catholique, les mouvements d’accompagnement des jeunes, des cadres, des familles et au mariage chrétiens se sont-ils transformés en structures de cooptation maçonnique ou en sectes ésotériques à l’intérieur desquels règnent le vice (homosexualité, orgies, clubs échangistes, réseaux de prostitution, etc.) et où se mêlent catholicisme, islamisme, magie et occultisme.

Comment un certain prêtre franc-maçon français, peut-il encore exercer au Gabon alors que des accusations de violences sexuelles sur mineurs pèsent sur lui depuis sa France d’origine et au Gabon?

C’EST QUE PAR DES PRATIQUES OCCULTES ET SATANIQUES, UNE GRANDE PARTIE DU CLERGÉ GABONAIS, MEMBRES DE CERCLES ESOTERICO-MAÇONNIQUES INHIBE TOUTE IDÉE D’INSURRECTION ET DE CONTESTATION DE LEURS FIDÈLES AU PROFIT D’UN SYSTÈME QU’IL SERT ET DONT IL EST COMPLICE.

La médaille pour « services rendus au régime et à ses idéaux » décernée le 17 août 2015 par Ali BONGO ONDIMBA à l’Archevêque Basile MVE ENGONE est sa récompense pour l’ensemble de son œuvre. Il est à noter que les 2/3 du clergé catholique au Gabon collabore à ce projet d’imposer aux gabonais, malgré eux, l’Etat-BONGO ONDIMBA.

Quelles sont les raisons (les vraies!) de la destitution du titre d’ « évêque de Mouila » à Mgr Dominique BONNET? Officiellement pour raisons de santé. Or ce conducteur automobile digne d’un pilote de formule 1 ne semble pas souffrir d’un quelconque mal. La raison en est toute simple. Ce vaillant défenseur de la franc-maçonnerie se vit offrir par le pouvoir BONGO ONDIMBA-Père, lorsqu’il était évêque de Mouila (sud-Gabon), une magnifique Cathédrale (Saint Jean l’évangéliste) qui servait de nuit de temples aux frères francs-maçons pour des rituels de messes noires, bestialités homosexuelles, orgies et sacrifices humains. Tout prêtre dans ‘’Son’’ diocèse qui refusait de se plier à cette règle voyait son nom trainé dans la boue, et être accusé de tous les péchés d’Israël (homosexualité, pédophilie, etc.).

L’Église de l’Alliance Chrétienne et Missionnaire du Gabon, l’Église Évangélique du Gabon, l’Église Évangélique Réformée du Gabon, les leaders des églises de réveil et l’Église du Christianisme Céleste, ne sont pas en reste. Les pratiques magiques, occultes et pactes maçonniques sont ici les conditions requises pour « propager le feu du Saint-Esprit », « impacter sa génération » et « faire des exploits au nom puissant de Jésus ». Là-bas l’Esprit-Saint ne sert pas à inspirer à l’homme à faire la volonté de Dieu, mais plutôt à connaître les desseins divins pour mieux les combattre et participent ainsi à cette vaste opération de domination du peuple par une minorité acquise au régime en place.

Ailleurs, les homosexuels se battent pour leur visibilité, l’acceptation de leur différence d’orientation et acquérir certains droits. Au Gabon, ils s’activent par tous les moyens pour imposer à l’ensemble leurs orientations.

Toute confession religieuse confondue, il ne fait pas bon afficher son antipathie vis-à-vis du régime, ou pire d’orienter ses prières en faveur de l’anéantissement de celui-ci. Tout contrevenant est aussitôt dénoncé au « système assassin intégré » état-BONGO ONDIMBA. Les cures d’âmes, confessions, demandes de conseils, entretiens ou tout renseignement auprès des « hommes de Dieu » (identité, profession, lieux de résidence et de travail, activités socioculturelles, liens matrimoniaux et familiaux, enfants, fréquentations, lieux de détente et de loisirs habituels, etc.) servent ainsi à mettre en marche « le rouleau compresseur » pour faire de la vie de l’indélicat un véritable « chemin de croix » (diffamations, intimidations, filatures, espionnages, tentatives de corruption, etc.) en vue de le faire taire, le convertir à leurs idéaux ou à défaut l’éliminer physiquement.

Le Conseil des Affaires islamiques du Gabon (regroupement d’imams), en réalité un cercle ésotérique avec son lot de marabouts, le culte vaudou (rite originaire du Bénin auquel nombre de PDGistes appartiennent et dont le pacte exige à ses adeptes de s’alimenter quotidiennement de chair humaine sous peine de mort subite!) ainsi que les rites animistes du Ndjobi et du Bwiti sont également mis à contribution et constituent de puissants prescripteurs des assassinats à buts fétichistes (crimes rituels). Nous apprenons de source sûre d’éléments de la Garde Républicaine (Armée prétorienne à l’intérieur de l’armée nationale, destinée à la défense et à la sécurité du régime et de ses personnalités) qu’une vaste campagne d’enlèvements et d’assassinats de la population à des fins fétichistes menée par elle est en cours d’exécution. Elle permettrait de selon les mages du régime d’apaiser le climat sociopolitique tendu et d’assurer à ABO une réélection dans un fauteuil en 2016. On parle d’une commande de 3.000 âmes.

DE L’EAU DE LA SEEG ET DES DENRÉES ALIMENTAIRES VENDUES PAR LA GRANDE DISTRIBUTION (FRANÇAIS, LIBANAIS, MAURITANIENS) OU LES ÉPICIERS « MALIENS, SÉNÉGALAIS » AINSI QUE LES CAFETERIAS AUX MAINS DES GUINÉENS ET RESTAURATEURS CHINOIS, BÉNINOIS, CAMEROUNAIS, CONGOLAIS, TOGOLAIS, MALIENS ET SÉNÉGALAIS.

Pour garantir la docilité des gabonais, une campagne d’intoxication alimentaire à l’échelle nationale est menée pour tuer dans l’âme tout esprit de contestation. C’est la raison pour laquelle l’élite dirigeante, les sujets français et libanais ne se nourrissent pas des mets importés, ou fabriqués localement mais disposent de leurs propres réseaux d’approvisionnement et distribution. L’ambassadeur de France étant allé jusqu’à interdire la consommation d’eau courante aux sujets français.

Qu’est-ce à dire? Simple : l’eau de la SEEG est sujette aux pratiques vaudou d’endormissement des consciences. Le gabonais sait ce que veut dire « boire l’eau de GABOSEP ». Voila ce qui est infusé dans les cuves de la SEEG.

La dépendance alimentaire du Gabon vis-à-vis de l’extérieur est elle-même entretenue par le système occulte BONGO ONDIMBA. Notez les habitudes alimentaires des sujets ouest-africains : ils ne gardent aucun aliment au congélateur. Ils mangent frais (poulet de chair, mouton ou viande bovine) et sont tous détenteurs de commerces (alimentation générale, quincaillerie, électroménager, fournitures scolaires et de bureaux, journaux, restaurants, cybercafés, débits de boissons, etc.).

Tout le contraire du gabonais dont l’esprit d’entreprise a été étouffée, et les habitudes alimentaires orientées à dessein.

Une vaste opération menée par le régime, de concert avec les « nations dites amies » du Gabon et leurs ressortissants (dont 8/10 sont des agents de renseignement du pouvoir) et des entreprises au service du satanisme mondial, alimente depuis des lustres le marché gabonais de produits à base de chair humaine en conserves (pâté, saucisses, cassoulet, choucroute garnie, charcuterie, etc.). Objectif : comme avec l’eau de la SEEG, éteindre toute velléité d’émancipation du peuple gabonais. Ainsi tout ce que vous trouverez comme viande rouge en rayons de super, hyper marché, épicerie, cuisines de cafétérias et restaurants ouest-africains, chinois, et même français et gabonais, cantines scolaires ou de bureaux, à plus de 75% des cas se trouve être soit de la chair humaine, où de la viande ayant subie des manipulations occultes! Les produits et boissons vendus à la sauvette (lait caillé, jus de Bissap, glaces, etc.) sont quant à mélangés à des mixtures impropres à la consommation (excréments humains) ou avec des fluides corporels (sang humain, urines, etc.) sur recommandations des services de renseignements gabonais. Nombre de bouteilles d’huile de cuisine contiennent en outre des huiles issues de graisse humaine.

Des sociétés comme la SOBRAGA et SOBOLECO (eau minérale ANDZA) sont également mises à contribution dans ce vaste scandale alimentaire. Des produits (alcoolisés ou non) de ces sociétés font en effet également l’objet de manipulations occultes.

NUISANCES SONORES ET LOUANGES AU DIABLE.

La mesure de fermeture des bars dès 22h a fait des malheureux du côté où on s’y attendait le moins : Le régime Bongo Ondimba-PDG. Pas étonnant qu’elle n’ait pas fait long feu, les tapages diurnes et nocturnes servant en effet à faire adhérer inconsciemment les populations à l’adoration rendue à Satan. Des œuvres musicales d’artistes tels Koffi OLOMIDE, Fally IPOUPA, Patience DABANY, des succès musicaux gabonais (« le marteau », « sors ça, sorcier! Wozoh! ») et nigérians distillent des messages à la gloire du « régime Bongo Ondimba serviteur de Lucifer et vainqueur de ses adversaires ».

Les cas les plus patents sont :

– le sanctuaire Notre Dame du Gabon à Melen où les disquaires environnants orientent les prières des paroissiens en faveur de la pérennité de l’état-Bongo Ondimba en jouant à tue-tête des titres de Patience Dabany (« On vous connait », « l’amour d’une mère », etc.) durant les moments de recueillement.

– Puis les différentes mosquées disséminées dans nos villes qui, à l’exemple de la mosquée Hassan II voisine de la paroisse Saint Pierre de Libreville, distillent des sourates sataniques en arabe (langue méconnue des gabonais).

Les chantres « chrétiens charismatiques » (catholiques ou des églises dites du réveil) ne sont pas en reste. Certaines compositions cataloguées « gospel » magnifiant un dieu innomé (sans mention d’une des personnes de la trinité ou de Jésus-Christ vainqueur) invitent à l’adoration des divinités obscures. Dire « mon dieu, j’ai besoin de toi dans ma famille, mes études, mon pays, etc. », sans révéler qui est « ce » dieu, conduit l’auditeur à pactiser inconsciemment avec l’ennemi infernal si celui-ci est révéré effectivement par l’auteur du titre.

DES FORCES DE SÉCURITÉ ET DE DÉFENSE.

Infiltrées par des miliciens originaires d’Angola, du Rwanda, des deux Congo, celles-ci sont par ailleurs instrumentalisées par le pouvoir qui n’hésite pas, lors des manifestations de l’opposition, à commanditer l’assassinat d’agent des forces de l’ordre afin de rendre leurs frères d’armes particulièrement impitoyables vis-à-vis des populations.

CONCLUSION.

Malgré les apparences, le clan ONDIMBA/DABANY reste très soudé et uni pour la conservation de leurs privilèges. Les finances publiques en plus de servir de banque familiale sont utilisées non pas vers l’amélioration des conditions de vie des populations, mais :

– A contenter les soutiens et alliés du clan ;

– à corrompre toute la classe politique gabonaise, les leaders syndicaux, estudiantins, associatifs, religieux tous complices de la détérioration du tissu économique et social du pays.

– A tisser des alliances occultes avec des multinationales, organisations et forces diaboliques pour s’assurer la pérennité de leur domination sur le Gabon, son peuple et ses ressources.

– A une vaste campagne de corruption à grande échelle en vue de renseigner, de dénoncer, d’éliminer physiquement ou par des moyens de magie noire et maraboutage, empoisonnements toute personne (parent, ami, collègue ou simple connaissance) œuvrant pour la libération du Gabon.

– Corruption, fabrication et campagnes promotionnelles de faux leaders contestataires ;

– Corruption et infiltration des mouvements associatifs et religieux.

– Au financement et à la corruption des médias (en ligne ou papier) et de chroniqueurs vedettes (francs-maçons et homosexuels) participants à la campagne de désinformation et de manipulation.

Paul Essonne

Journaliste

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