Le président de SYLTTEG Jean Robert MENIE candidat à l’élection présidentielle a fait une importante déclaration dans ses locaux sis au quartier Nzeng-Ayong dans le 6ème arrondissement de Libreville ce mercredi 18 janvier à 12 heures.
Au cours de ladite déclaration, le candidat Jean Robert MENIE avec la verve qu’on lui connaît a déclaré « Non à une énième concertation politique qui ne connaîtra pas plus de succès que les précédentes, qui au fil des années ont montré leur limite. Ces concertations ont trop souvent servi d’arrangement entre ces politiques, des compromissions, de partage d’argent et de postes sans que cela ne puisse vraiment faire avancer le processus électoral ». Il a ensuite mis en exergue, le constat chaotique de la situation sociopolitique au Gabon avec notamment les problèmes qui entravent le bon déroulement du processus électoral c’est-à-dire le tripatouillage des procès verbaux malgré la représentativité de chaque camp, l’achat des votes, les conditions non contrôlées d’accès à la carte nationale etc. Puis, le Président de SYLTTEG a révélé que « Les enjeux sont trop énormes, notamment le chômage, l’état de délabrement avancé du réseau routier, l’insalubrité de nos villes qui se traduit par l’existence de poubelle géantes à ciel ouvert, la pauvreté galopante etc. ». « Face à cela nous disons Non à toute cette mascarade » ajoute-t-il. Mais en vers et contre tous, l’argent éjecté ne pourrait-il pas servir à régler le problème d’adduction d’eau dans les quartiers tels que Kinguélé, Mindoubé, PK11 ? Par conséquent, des propositions ont été faites par Jean Robert MENIE qui recommande la réalisation d’un mémorandum pour chaque forces vives de la nation afin qu’il soit tout simplement remis au Président de la République; la mise en place des stratégies.
« C’est le départ d’un nouveau mouvement politique. Pour cela, il faudrait s’organiser afin que 2023 soit une année charnière » affirme Monsieur MENIE. Cette dynamique va-t-elle se poursuivre ? C’est le moment de changer. La société est en impasse. Etant un pole de stabilité, Jean Robert MENIE semble avoir les moyens d’innover et de faire différemment.
Aussi, le candidat invite plutôt les classes politiques à un engagement plus sincère au côté du peuple. Cela suppose de revenir au vrai constat, qui est d’organiser les forces populaires en vue d’une alternance pacifique et non violente lors de la prochaine échéance électorale.