Longtemps marginalisée, la presse privée viens de décider de ne pas prendre part à la conférence de presse du Premier ministre Julien Nkoghe Bekale, qui se tiendra à l’Immeuble Arambo de Libreville. Une décision prise au cours d’une réunion tenue dans la nuit de dimanche, à cause de la non prise en compte de certains médias privées dans le cadre de la lutte contre le Covid-19.
Cette rencontre du Premier ministre et de certains membre du gouvernement sur la stratégie nationale de riposte contre le Covid-19 prévue pour ce lundi à 14 h ne verra pas la participation de plus de vingt deux médias de presse en ligne et écrite parce que disent il ne pas se retrouver dans le plan de lutte contre le coronavirus piloté par le copil, et pour faire entendre leur voix ils sont décidés de ne pas prendre part à cette cérémonie.
Ce même collectif avait dénoncé l’absence de communication du Copil, d’abord sur les cas de décès dont on enregistre une confusion totale, a cela s’ajoute la précision de la famille qui dise que leur défunt ne sont pas mort du coronavirus, en dehors du médecin Tanguy de Dieu Tchantchou qui a faillit être enterré comme un indigent dans une fausse commune de Mindoubé dans le cinquième arrondissement de la commune de Libreville.
Autre fait, le Copil, avait présenté Luc Levy comme un journaliste alors que ce dernier est un technicien de l’audio visuel. Et l’identité de Levy Luc avait été révélé au public ce que l’on avait jamais enregistré au sein de ce Copil. Le collectif avait demandé une mise à plat du COPIL, suivie d’une recomposition dudit Comité qui, désormais, regrouperait les techniciens, les chercheurs, et les représentants (professionnels) des médias afin d’éviter le manque de professionnalisme et de redorer le blason du COPIL. Le collectif des patrons de la presse privée gabonaise attend toujours d’être reçu par le président de la République et par le coordonnateur général des affaires présidentielles.