Elections générales 2023 : « Tous pour ONDO OSSA, mais les partisans du PDG paniquent » par Petit-Lambert Ovono.

Comment un pouvoir disposant de tous les moyens, de toutes les ressources de l’État, contrôlant tous les médias, se gargarisant d’avoir un bilan positif, se proclamant faiseur de paix… peut-il à se point raconter des inepties sur une soi-disant déstabilisation du Gabon par Hugues Alexandre Barro Chambrier et le professeur Albert ONDO OSSA?

Quels intérêts auraient ces deux gabonais « NORMAUX » pour mener une telle opération, eux qui se saignent pour redresser et faire avancer la cause des gabonais enfermés par le pouvoir Bongo PDG dans la misère et la pauvreté, la mauvaise gouvernance et la corruption?

Non! les partisans du pouvoir n’ont aucune inquiétude à se faire, les partisans du changement veulent remporter dans la plus grande des transparences et de clarté l’élection présidentielle pour prouver aux yeux du monde que le Gabon est un pays des hommes NORMAUX.

C’est pas en agitant le chiffon rouge mâtiné des accusations tribalistes anti Fang que les populations enclavées d’Iboundji, de Pana, de Mekambo, de Mimongo, de Malinga…vont circuler sur des routes carrossables pour évacuer leurs produits agricoles et aller se soigner vers des centres hospitaliers les plus proches.

C’est pas en faisant des promesses non financées que les gabonais qui attendent toujours les 5000 logements par an depuis 2010 et l’émergence promise pour 2025 peuvent encore vous faire confiance.

Enfin, c’est pas en bridant la liberté de vote des gabonais par des lois iniques, des modifications constitutionnelles sans fin que le peuple peut encore vous accorder un peu de crédibilité.

Vous avez vous-mêmes semé le mauvais Grain.

Le temps où chacun va récolter ce qu’il a semé est arrivé.

Du calme, chers pedegistes patriotes, le bulletin ONDO OSSA est le seul BULLETIN à mettre dans l’enveloppe et dans l’urne samedi prochain.

Pas de panique, le Gabon est pour les hommes NORMAUX.

Petit-Lambert Ovono, évaluateur certifié des politiques publiques, président de SOGEVAL

Paul Essonne

Journaliste

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