Suspendus depuis le 10 avril dernier par le ministre d’Etat, ministre de l’Education nationale, Michel Menga M’Essone la reprise des cours annoncé par la tutelle pour le jeudi 18 avril 2019 sur toute l’étendue du territoire national, a connu un manque d’engouement de la part des apprenants et des enseignants.
Une décision survenus a l’issue des concertations organisé et initier par la tutelle avec les partenaires de l’éducation pour bien réfléchir sur la mesure conditionnant l’octrois de bourses d’études après le baccalauréat. Deux jours durant, le ministère et les acteurs du secteur ont finalement acté pour la non application de cette mesure « sans précisé de quelle année elle sera effective ». Une décision qui a conduit les autorités ministérielles après un rétropédalage d’invité les élèves a regagnez les salles des classes dés le 18 avril. Sur le terrain, le constat est léger, surtout dans la circonscription centre de la capitale avec certes la présence de certains élèves, l’absence de responsables de cours étaient visible, c’est le cas des lycées et C.E.S Mabignath, de Likouala, du centre ville, Léon Mba, et plus loin le lycée d’état de l’estuaire. Par contre dans le confessionnel (Bessieux, immaculée conception, Sainte Marie et Quaben) la reprise a été effective.
Dans le primaire, la situation s’explique, car le lancement des épreuves sportives du certificat d’étude primaire et élémentaire (C.E.P.E) qui devrait démarrer depuis le 10 avril ont été interrompus suite aux manifestations de contestation de leurs aînés du secondaire ont repris le jeudi a l’école publique Martine Oulabou, un des centres de ces épreuves. A l’intérieur du pays certains établissements ont repris normalement les cours notamment à Franceville, Moanda, Lambaréné, Mouila et Oyem. Le brevet d’étude du premier cycle (BEPC) au niveau du secondaire a aussi connu un remaniement des épreuves sportives qui devrait débuter le 15 avril mais sera effective au sortir de la fête de pâques sur le territoire national.
Notons que le manque de professeurs dans certains établissement peut ce justifié de l’application de dépôt de grève générale prévus le 23 avril prochain par le SENA, le syndicat de l’éducation nationale où ce laxisme constaté des enseignants a ce rendre en cours. Déposer sur la table du ministère, les syndiquez du SENA réclament entre autres, le retour des concours internes a l’ENI et l’ENS, la lever des gèles de carrières, la formation des inspecteurs, l’intégration et le versement des salaires de la promotion ENI,ENS 2013,2014,2015,2016,2017 et 2018, un cahier de charge semble t-il très lourd au regard de différents problèmes persistant actuellement en terme de conflit.