Dialogue 2024: les forces du mal font dans la résistance

Hormis les cas d’incivisme dans les toilettes, de vol, de trafic d’influence, d’abus d’autorité, … Bref. Le Dialogue national inclusif, le premier après le brillant coup de libération du 30 août 2023 est tout un mélange.
Commençons par la Commission transport, alors que les autres redoublent d’efforts pour éviter de s’identifier comme la risée à cause naturellement des mauvaises mentalités de certains lors de ces grandes assises. S’agissant donc du transport, ils sont nombreux qui n’arrivent pas à garder longtemps leur bonne humeur. A ce qui semble, il n’y a presque plus une journée  qui passe sans qu’on entende des complaintes ou autres patenôtres provenant de certains compatriotes participant au dit Dialogue.
Nous avons l’un des exemples, le samedi 13 avril dernier, la plupart des représentants des médias après avoir couvert la première conférence de presse dudit Dialogue, se sont rendus comptes  après qu’ils aient quitté la guérite qu’il n’y avait aucun bus pour les embarquer pour sortir du site abritant le Dialogue à Angondjé. C’est ce qui a contraint ceux qui n’avaient suffisamment pas l’argent de trotter quand les plus malins ont opté pour l’auto-stop pour regagner leurs habitations respectives. Le dimanche 14 avril dernier, les esprits barbares et mesquins ont été à l’origine d’une décision prise empêchant la vente de boissons alcoolisées aux abords du stade de l’amitié Sino-gabonaise, site qui abrite le Dialogue national inclusif.
Selon certaines indiscrétions, l’origine de cette décision est du fait que certains agents du maintien d’ordre et de sécurité s’étaient livré à un échange des magambas après avoir lever le coude avec le mussungu. N’arrivant pas à se retenir les gaillards se sont froissés comme les petits voyous du quartier. C’est ce qui a eu pour conséquence de ne plus accepter la commercialisation du godet alcoolique dans les alentours du site du Dialogue. Ce qui n’a pas manqué les vives réactions ont souhaité que ces salariés soient orienté vers les auteurs du mal et bien évidemment leurs semblables.
Le lundi 15 avril, le calvaire des représentants des médias était sans répit. La chaleur a dérangé la majeure partie où ceux-là étaient orientés à s’asseoir. Que ce soit dans la tente qui a été aménagé pour leur travail et le même désagrément leur a gêné pendant la prise du repas. Il fallait les voir mouillés par la sueur qui coulait à grande goutte à cause naturellement de la forte chaleur. Ça faisait vraiment pitié pour les chasseurs d’informations.

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