Nommément citée parmi les personnalités devant rejoindre les mutins lors de l’insurrection de la tentative du Coup d’État manqué du Lundi 7 janvier dernier, les mésaventures à Paris de Laurence Ndong semblent, de plus en plus, étonnantes.
Comme si » l’activiste » à la solde de Jean Ping, et représentante de la coalition de ce dernier EB France se reconnaissait dans cette citation.
Alors même que les enquêtes actuellement en cours, n’auraient pas encore comparu son degré d’implication ou de complicité, avéré ou non, dans le mouvement du lieutenant Kelly Ondo Obiang Ebè et de ses hommes.
Certaines sources proches de l’opposition gabonaise observent avec indignation la valse médiatique menée par Laurence Ndong dans la diabolisation de la tentative de coup d’État dans les médias français, comme une ultime tribulation de désespoir.
Avec en objectif de tenter se disculper ou instrumentaliser l’opinion, au cas où sa complicité serait prouvée, en se faisant passée pour victime gratuite d’une machination du pouvoir qu’elle pourfend dans une cabale de médisance à travers les médias qui accorderait encore du crédit aux propos de l’opposante.
Qui dans sa litanie virulente aurait certainement oublié de reconnaître qu’une mascarade et/ou manigance de tentative de coup d’État, selon » l’activiste « , ne se solde pas par une effusion de sang.
Laurence Ndong avait quitté le PDG après avoir soutenu le Président Ali Bongo Ondimba, de 2009 à 2015, a la suite de la disparition de la somme de 8000 euros, reçus des mains du chef de l’état gabonais, des caisses de la Fédération PDG de France. Structure dont elle assurait l’intérim.
Depuis lors, elle aurait changée de bord politique pour servir de relais et de caisse de résonance de l’opposant Jean Ping.
Que du mensonge votre article. Madame Ndong est une femme digne.