AEZO : le potentiel de la ZES de Nkok présenté aux investisseurs.

Le potentiel de la zone  économique spéciale de Nkok a été présenté une fois  de plus aux investisseurs étrangers.  C’était à l’occasion, de  la 5e édition de la Convention annuelle de l’Association africaine des zones économiques (AEZO), dont le thème portait sur «la Contribution des zones économiques dans la mise en œuvre de la Zlecaf et le renforcement de l’intégration africaine».

Le niveau de développement actuel de la zone économique spéciale de Nkok, est aujourd’hui apprécié à l’extérieur  et suscite des convoitises. C’est dans cet optique que, la 5e édition de la Convention annuelle de l’Association africaine des zones économiques (AEZO) qui s’est tenue par visioconférence, le 3 décembre dernier, a permis aux ministres en charge  de la Promotion des investissements, Carmen Ndaot, et son collègue du Commerce, Hugues Mbadinga Madiya, de présenter le potentiel de la zone économique spéciale de Nkok. Une zone devenue une référence en Afrique centrale.

En partenariat avec la Commission de l’Union africaine (UA) et la Conférence des Nations unies sur le commerce et le développement (CNUCED). Cette réunion d’une grande importance pour  toute l’Afrique notamment les économies d’Afrique  centrale, devrait permettre  de faciliter  l’intégration des économies africaine.  Durant cette réunion les experts des nations unies et de l’Union africaine  ont pu débattre des questions liées à la croissance, à l’intégration sous régionale et la contribution des zones économiques dans le processus d’intégration économique des états africains.

La Zone économique spéciale de Nkok qui, au fil des années confirme son leadership au niveau de la région d’Afrique, en ce qui concerne les zones franches, est un exemple dans le cadre de la diversification des économies africaines. Selon le Ministre Carmen Ndaot,« les zones économiques comme la ZES de Nkok, avec leur offre de produits à forte valeur ajoutée, vont participer à l’accélération de l’industrialisation de l’Afrique en apportant une forte croissance et en contribuant à la réduction du chômage par la création de nombreux emplois», dira cette dernière.

C’est donc un conclave qui pourrait dans les années à venir ouvrir les portes de l’intégration sous régionale.

Ikoundi Nguema

Journaliste

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