Le programme SSR (Santé Sexuelle de la Reproduction) est un programme de l’Agence des Nations-Unies dénommé Fonds des Nations-Unies pour la Population (UNFPA), développé au secondaire et au primaire avec l’appui d’autres Agences des Nations-Unies comme l’UNICEF et l’UNESCO. Notons que l’ONUSIDA est l’agence des Nations-Unies qui a en plus de la question du SIDA, le mandat de promouvoir l’homosexualité. Mais toutes ces politiques ne peuvent se faire sans l’accord des pays d’accueil.
Pour se faire, ces Agences vont proposer aux pays où ils souhaitent développer leurs programmes un contrat (essentiellement de l’argent contre le développement de ce programme). En page 3 du guide qui vous est distribué, vous trouverez les noms des organisations et administrations soutenant ce programme.
De façon insidieuse, ces programmes sont définis comme des programmes complémentaires à ceux de SVT. C’est pourquoi, les Nations-Unies après accord du pays d’accueil, vont renforcer les capacités de certains professeurs de SVT pour enseigner ce programme, bien-sûr ce n’est pas gratuit pour eux, vu que c’est un programme complémentaire qui ne fait pas partie de la formation reçu à l’ENS (pour le cas du Gabon).
Ce sont aujourd’hui, ces enseignants ayant été formés à promouvoir ce programme assurément contre une prime qui en sont aujourd’hui les principaux défenseurs, indexant les citoyens luttant contre que nous sommes. En page 4 de ce guide SSR, vous trouverez la liste des gabonais ayant rédigés, relus et validés le contenu de ce programme ; bien évidemment ce n’est pas gratuit.
Rappelons que ce programme était développé uniquement dans les écoles secondaires depuis les années 2015 ou 2017. La montée au créneau des acteurs de la société civile (ONG EDUCAF œuvrant dans L’Éducation en ce temps) avait poussé l’UNESCO a donné le sentiment d’avoir renoncé au développement de ce programme. Aujourd’hui, en plus du secondaire, ils s’attaquent maintenant au primaire et pré-primaire.
S’agissant de l’homosexualité au Gabon, jusqu’en 2019, l’homosexualité ne figurait nullement dans nos textes et étaient classés dans la catégorie des atteintes aux mœurs. Afin de donner naissance à l’homosexualité dans les textes gabonais, les promoteurs de l’homosexualité tapis à la Présidence de la République, au Gouvernement et au Parlement vont procéder au jeu juridique de pénalisation-dépénalisation.
Ainsi, en juillet 2019, afin d’introduire officiellement l’homosexualité dans notre corpus juridique, le Parlement adoptera en 2019 une loi criminalisant l’homosexualité. Si beaucoup de Gabonais s’en sont réjouis, ce n’était en réalité qu’un jeu juridique de dupe pour attirer sur le Gabon le regard des bailleurs de fonds défendant cette pratique satanique. En effet, 1 an après, soit en 2020, le même Parlement qui avait il y’a quelques mois voté la pénalisation de l’homosexualité va cette fois-ci la dépénaliser, donnant ainsi naissance de façon officielle à l’homosexualité au Gabon et à la protection des droits homosexuels(présenté comme les violences basées sur le genre) cela a la faveur de la loi de la dépénalisation et la modification du code pénal.
Quand on interpelle les gabonais sur les élections surtout législatives, beaucoup pensent que ce n’est pas nécessaire. Nous vous informons que les PDGistes qui ont toujours gagné grâce à la grande abstention et à la fraude deviennent de nouveau majoritaires au Parlement, des lois encore plus iniques allant même jusqu’à la modification de notre code civil pour la reconnaissance du mariage homosexuel pourront être prises.
Nous précisons que ce programme, à notre insu, était en expérimentation dans les établissements primaires et assurément pré-primaires de 3 provinces à savoir: Estuaire, Ogooué-Maritime et Woleu-Ntem. Ils souhaitent maintenant l’étendre sur l’ensemble du territoire par la signature de ce contrat de service entre l’UNESCO et l’État gabonais. Notons que le Gabon est le seul pays en Afrique subsaharienne qui a accepté de promouvoir l’homosexualité dans ses écoles. Dans tous les autres pays à majorité ouest-africains, ce sont les Leaders religieux qui se sont opposés soit en modifiant le contenu du programme (retrait des contenus homosexuels et autres déviances) ou en rejetant catégoriquement le programme. Aussi, au Gabon, ce programme SSR, ne sera développé que dans les autres établissements saufs ceux de confessions musulmanes.
Pour l’heure, mobilisons-nous tout en vous invitant à consulter les 178 pages de leur guide SSR pour vous rendre compte de ce qu’ils préparent pour notre nation.
Geoffroy FOUMBOULA LIBEKA MAKOSSO
Porte-parole du COPIL CITOYEN