Une affaire des plus rocambolesques, faisant état du kidnapping d’une compatriote, vient de mettre en émoi les habitants du 6ème arrondissement déclare commune de Libreville. Selon le site » Nzeng Ayong infos », la nommée Pélagie Eyeang, épouse Nguema Oboure, avait été signalée portée disparue de son domicile de chantiers modernes depuis le 12 mars dernier où elle avait été kidnappée par des inconnus. Avant de faire une réapparition soudaine dans son foyer le weekend qui suivait.
L’affaire avait tellement prit de l’ampleur, que les réseaux sociaux s’en était saisi. Dans le même temps un avis de recherche avait même été publié dans le quotidien national l’Union. Au regard de tous ces faits troublants, il ya tout de même des airs de flou et de parfait maquillage. Dans la mesure que le retour d’un être que l’on a prétendu enlevé ou kidnappé se doit des éclaircissements afin qu’une information judiciaire puisse être diligenté par le parquet de Libreville. Qui était le ou les prétendus ravisseurs? Que voulaient le ou ces derniers? Ou l’on t’ils gardé ? Pour quelle raison? Etc.
En effet, selon certaines de nos sources, cela n’est qu’une arnaque ingénieusement élaboré par ma prétendue kidnappée et les siens. Alors que dame Pélagie avait maille à partir avec les adhérentes de son groupe associatif au sujet des cotisations perçues depuis plus d’une décennie. Il y a une dizaine d’années Pélagie Oboure Nguema monte un groupe associatif dont elle-même est la présidente et sa cadette la trésorière. Pendant dix ans, les deux sœurs qui composent le bureau de l’association vont percevoir les cotisations des membres sans qu’il ne soit effectué aucun compte, ni bilan. Excédées d’être floues les membres vont demander à leur présidente de leur faire le bilan comptable après avoir débarqué au domicile de la présidente. Celle-ci aurait demandé que l’on lui laisse du temps pour préparer les dossiers. C’est au moment où l’on s’attend a la convocation de cette assemblée générale que l’on apprendra finalement que Pélagie était portée disparue de son domicile.
Selon des sources proches des concernés, il en avait été rien de tout cela. Pélagie Nguema Oboure ayant manigancé tout cela pour se tirer d’affaire, vu que l’étau se resserrait autour d’elle. Au moment ou les adhérentes de son association entendent saisir la justice pour escroquerie, abus de confiance. D’aucuns affirmerait que ce remis lui aurait permis d’affinités ses papiers pour s’envoler vers un pays d’Afrique de l’ouest. Ou elle entend se réfugier. Déjà il y a quelques années, pour des faits similaires, elle avait été débauchée d’une compagnie d’assurance locale ou elle était employée.