Une rumeur de crainte « d’indigestion alimentaire » serait actuellement perfectible au Conseil Economique Social et Environnemental depuis l’ouverture de la session ordinaire du 18 février dernier en l’absence du Président René Ndemezo Obiang.
La crainte « d’indigestion alimentaire » ainsi généralisée serait, dit-on, favorisée par la qualité indésirable de repas fournis par le prestataire aux Conseillers-membres du CESE. Car ne tenant pas compte très souvent des régimes alimentaire et sanitaire uns et des autres. Une situation regrettable qui ne cesse de perdurer au fil des ans et à chaque session.
« Nous boudons la qualité de services et des repas qui nous sont servi par le prestataire. Alors que celui-ci a été entièrement payé par l’argent du contribuable. Malheureusement, plusieurs Conseillers-membres, parmi lesquels de nombreux malades, sont obligés d’aller s’alimenter dans les gargotes proches de l’institution durant la pause des travaux. Ce qui est inadmissible. Quand on sait que c’est l’argent du contribuable qui a été mis à contribution. Dans la mesure où les Conseillers-membres devraient logiquement être alimentés de manière saine, correcte et convenable » s’est indigné une élue du collège de membres du CESE. Des manquements qui n’honorent pas le CESE estiment pour leur part de nombreux autres membres dont la gestion cavalière du Conseil Economique Social et Environnemental semble profiter depuis près de deux ans à certains privilégiés ou encore à des « profitosituationnistes« .
D’autres rumeurs feraient également état d’un peu plus d’une dizaine de millions de francs cfa débloqués pour les honoraires dudit prestataire durant la session. En effet, il serait inconcevable que des Conseillers-membres aillent s’alimenter hors de l’institution pendant les travaux en session conformément aux dispositions constitutionnelles. A moins de choisir un autre prestataire les jours à venir.