Déjà noyé dans l’affaire de l’achat des Bentley en France, Maganga était sur le viseur du cabinet du Président.

Le  kévazingo a été la goutte  de trop. La descente aux enfers de Maganga Moussavou justifie l’adage qui dit « Qu’on ne change pas sa nature ». C’est connu, le vice Président…