Le kévazingo a été la goutte de trop. La descente aux enfers de Maganga Moussavou justifie l’adage qui dit « Qu’on ne change pas sa nature ». C’est connu, le vice Président…
Le kévazingo a été la goutte de trop. La descente aux enfers de Maganga Moussavou justifie l’adage qui dit « Qu’on ne change pas sa nature ». C’est connu, le vice Président…