De façon générale, l’écosystème est défini comme le lieu où des êtres vivants sont en interactions entre eux et avec leur milieu physicochimique. Cette notion recouvre celle de l’environnement, niche écologique de tous les vivants. C’est dans ce sens que l’écologiste américain John Muir considère tous les êtres vivants comme « des frères » évoluant chacun dans sa niche qui lui est propre. Ainsi peut-on découvrir dans chaque niche différentes merveilles. Ce qui laisse penser conséquemment que l’écosystème, notamment l’environnement est à préserver, voire à protéger pour la survie de toutes les espaces.
De ce qui précède, retenons que préserver l’écosystème c’est de facto préserver notre propre vie. Il nous revient donc de lutter contre tout facteur de dégradation de l’environnement. Notamment contre toute forme de pollution (déversement des produits chimiques, rejet des résidus industriels et autres déchets solides dangereux dans la Nature, dégradation des DAOM (déchets assimilables aux ordures ménagères).
Un signal fort est ici lancé pour alerter l’opinion sur l’urgence et la nécessité de protéger notre écosystème. À cet effet, j’interpelle le commun des gabonais et plus encore les pouvoirs publics au sujet de la gestion des DAOM. Au demeurant , Étudiante en QHSE, je mesure davantage l’urgence de cette préservation et de l’impératif de changer de comportement sur la Nature. Pour y arriver, je propose des campagnes de sensibilisation par des spots télévisés à des heures de grande audience des chaînes publiques. Oui, je pense qu’il est urgent d’informer, d’éduquer et de convaincre la population sur les lourdes conséquences de la pollution. Les jeunes qui constituent l’avenir du pays devraient particulièrement être sensibilisés à conception des stratégies innovantes de lutte contre la pollution pour la préservation de notre écosystème.
Pour LES FONDAMENTALISTES,
Mauranne Lagrâce Magda MEFANE SYLVA
