La confrontation de mars prochain entre le Gabon et le Burundi est capital pour les deux équipes. En effet, une défaite pour l’une entrainerait automatiquement la qualification de l’autre.
Le Burundi chez eux peuvent compter sur le soutient non seulement de tout un peuple, sur des joueurs en pleine forme et surtout sur la prime de motivation offerte par leur président. Chaque joueur des ‘’Hirondelles’’ aurait la somme de 3 millions de francs pour terrasser les panthères en plein doute.
Il est certes vrai que le championnat local qui se nommera désormais’’ Gabon Oil national foot’’ grâce à son nouveau sponsor providentiel Gabon Oil Company, pourrait démarrer dans les tous prochains jours mais il n’empêche que Daniel Cousin et ses poulains ont déjà une épine dans la bottine. Le championnat n’a pas démarré, ce qui a pour conséquence immédiate la convocation des joueurs à cour de compétition. Mieux pour ne pas dire Pire, même ceux évoluant en Europe et sous d’autres cieux ne figurent presque jamais sur la feuille de match à l’exception de Bruno Ecouele Manga à Cardiff. Les autres c’est du tourisme. Dans ces conditions, à quel miracle peut-on s’attendre ? Il est encore temps d’aller faire un tour à Yombi chez l’autre-là de l’UPNR afin d’invoquer les génies (sic).
Dernièrement dans les réseaux sociaux, on a vu Aubameyang et son coach bras dessus dessous déambulés dans les rues d’une métropole occidentale mais pour combien de temps cette joie va-t-elle durer. Même si ce PEA revient en sélection, il n’est pas évident que lui seul arrive à freiner l’élan burundais. Même l’aire de jeu du stade de Bujumbura donne sera un handicap majeur pour les gabonais au regard de l’état de l’aire de jeu qui ressemble à un champ de patates. Prions simplement que les dieux du football soient avec les panthères ce jour-là.