Le 25 avril de chaque années l’organisation mondiale de la santé (OMS) célèbre la journée Mondiale de lutte contre le paludisme, avec pour thème cette année « Zéro palu, je m’engage »ceci pour bien combattre la maladie.
Au Gabon, c’est sous le slogan « assainissement de proximités » que les responsable du programme national de lutte contre le paludisme et les autorités du ministère de la santé organise depuis le 18 avril une série de rencontre de sensibilisation, d’information, d’animation, d’assainissement et de distribution des MILDE à travers le pays.
En terme de statistiques globale les enfants de 0 a 5 ans ainsi que les femmes enceintes représentent la franche de la population les plus vulnérable par leurs morbidités et mortalités élevés. La prévalence du paludisme au Gabon est estimé à 25% chez les enfants âgés de 0 a 10 ans, le nombre de cas rapportés dans la population est passé de 185105 en 2010 a 217247 en 2015. Le nombre de décès a augmenté passant de 182 en 2010 a 311 en 2015. La morbidité est resté stable autour de 22% et la mortalité est passé de 10 a 4% toujours pour l’année 2015.
Cependant, selon une étude du département de parasitologie de l’université des sciences de la santé de Libreville (USS) sur l’âge de la population a risque du paludisme entre 2005 et 2010 a Libreville, Port-Gentil et Oyem, la population des enfants âgés de plus de 5 ans tend a devenir la plus menacés.
L’objectif est de réduire d’ici 2021 40% le taux de morbidité et de mortalité liées au paludisme par apport a 2015, ceci par le renforcement des capacités gestionnaires et managériales du programme national de lutte contre le paludisme (PNLP) et de ces partenaires, l’incitation de prés de 80% de la populations a s’appropriées les interventions efficaces, l’amélioration du système de surveillance, le suivit et l’évaluation des interventions de lutte contre le paludisme, l’intensification de la communication institutionnelle pour le changement de comportement et le renforcement de la participation communautaire. Selon l’OMS « aucuns progrès significatif n’a été accompli dans le monde entre 2015 et 2017. Ont estime a 435 000 cas de décès dû au paludisme en 2017 » D’où l’urgence de relancer l’action mondiale, et c’est les pays les plus touchés par cette maladie doivent s’appropriés ce défis.
Avec toute ses statistiques qui tiens des études de 2010 à 2015, vivement que la célébration de la journée mondiale de lutte contre le paludisme de cette année serait une occasion pour les autorités sanitaires locales de mettre a la disposition du public des données plus recentrent de la maladie afin d’évalué l’impact réel sur la population.