Ce sont en l’occurrence les bars (ventes de boissons) et les garages (réparation de voitures) situés aux abords des routes de façon anarchique qui sont visés. Ils salissent l’image des artères de la capitale gabonaise, une opération que compte mener sans relâche l’édile de la plus grande ville du pays.
le Maire, Léandre NZUÉ et son équipe s’attèle depuis quelques semaine a une opération d’enlèvement et de déguerpissement des artères encombrant les rues et autres voix de communication de Libreville. La destruction des débits de boissons anarchiques et des garages de véhicules qui ne répondent pas aux normes souhaitées pour ladite tutelle.
Des sorties torturante dans les marchés pour déguerpir les occupants anarchiques de ces marchés notamment au rond point d’Awendjé, carrefour charbonnage, Rio etc… ou les commerçantes installées a ces lieux ont vus leurs marchandises emportées et les tables brulées par les agents de la mairie « c’est pas normal ce que fait la mairie de Libreville car nous nourrissons nos enfants avec ce petit commerce, qu’ils nous trouve un espace » Le maire Leandre Zué dans son élan ne veut pas se laisser distraire « Elles vont dire ce qu’elles veulent moi je veut faire de Libreville une capitale digne de ce nom » a répondus très remonté le 1er citoyens de la ville .
Puis, cette seconde phase qui s’étend sur les bars et garages de voitures.
« Il y a aussi, les tenanciers des bars qui sont montés de façon informelle et, vous n’aviez pas idée du bruit qu’ils produisent. L’autre cas, c’est éventuellement les garages de véhicules. On ne refuse pas que ces mécaniciens nous aident tous lorsqu’on n’a pas des moyens pour se rendre dans les grandes maisons d’automobiles pour faire réparer nos voitures, mais il faut que ce secteur soit régulé afin qu’ils ne poussent plus comme des herbes un peu partout, empêchant même l’embellissement de la ville », s’est indigné un Librevillois visiblement désabuser de cette situation.
Toutefois, cette action qui suscite ancre et salive ne saurait connaître son épilogue mais, la grande problématique demeure sur la longévité car, comme l’indique un dicton « a beau chasser le naturel, il revient toujours au galop ».