L’Afrique avait jusqu’ici été relativement épargnée par la crise du coronavirus qui bouleverse le monde. Mais la hausse en flèche du nombre de cas sur le continent laisse maintenant présager une catastrophe.
Le COVID-19, comme chaque émergence virale à l’origine de flambées épidémiques, s’est muée en une pandémie aux conséquences majeures et la réponse constitue un véritable défi pour la communauté internationale. La gestion de crise liée à cette maladie infectieuse et la communication représentent un exercice complexe pour les autorités nationales, qui sont accusées a posteriori d’avoir sous-estimé les risques.
L’étude des crises passées est indispensable, les enseignements permettant d’améliorer les dispositifs de prévention et de réponse. Néanmoins, chaque situation est spécifique et de multiples facteurs intrinsèques et extrinsèques vont avoir un impact sur la dynamique de propagation de la maladie, incluant entre autres les caractéristiques propres au virus, la mise en œuvre de mesures préventives, l’efficacité des dispositifs de veille sanitaire et d’alerte, et la qualité des systèmes de soins. Des déterminants politiques, sociaux, religieux ou culturels peuvent également avoir une incidence sur la réponse. La situation causée par COVID-19 est évolutive. Les équipes de recherche sont mobilisées au niveau international pour arriver à lever les incertitudes concernant le coronavirus, mieux connaître l’épidémiologie et tenter de modéliser sa propagation. Il n’est pas possible à ce stade de déterminer l’impact sur la diffusion du virus que les mesures sans précédents adoptées par la Chine ont pu avoir ou de prédire l’ampleur que prendra l’épidémie au niveau mondial. Une analyse rétrospective contextualisée de l’efficacité des stratégies de contrôle de l’épidémie sera indispensable.
Les interactions entre la recherche scientifique et la mise en place d’arme de destruction biologique sont intimement liés par nature et évidemment depuis que l’homme s’intéresse à la militarisation d’agents pathogènes. La ligne qui sépare des activités défensives à vocation thérapeutique et donc médicale des activités offensives vouées à des applications militaires est très poreuse pour ne pas dire invisible. Comprendre les mécanismes qui permettent à une bactérie ou un virus de s’affranchir du système de défense immunitaire d’un être humain permet à la fois de mettre au point des traitements et des vaccins mais également et éventuellement de concevoir des armes biologiques plus efficaces. On parle dans ce cas de caractère dual de ces activités.
Selon le pathologiste Dr Emma Djingh’s Lilo : « L’Occident refuse de faire vacciner leurs enfants. Malheureusement, l’Afrique accepte de le faire. Elle doit résister jusqu’au sang. Aujourd’hui, 8000 vaccins sont acheminés au Congo. Les protocoles qui régissent les périodes d’épidémies ne sont pas respectés.
Les médecins ne veulent pas se réveillés, ils disent qu’on tue la science. La vraie trahison de la science c’est ne pas réfléchir, ne pas observer. L’endoctrinement des masses est en cours, il faut qu’on nous explique. Que les scientifiques africains s’associent pour voir s’ils sont des inventeurs ou des créateurs de problèmes. Méfiez-vous, ne vaccinez pas. Les pays africains doivent lutés et prendre des engagements. »
Le COVID-19 est certainement le fruit d’une erreur de manipulation, responsable d’une fuite accidentelle de cette souche du virus dans la nature, et qui est tombé dans des mains mal intentionnées. Ceci a donné lieu à la présente pandémie mondiale que connaissent l’Afrique et le reste du monde, et qui a déjà provoqué des milliers de mort à l’image de l’épisode qui frappa le monde en 1918 sous le nom d’épidémie de grippe espagnole.