En lisant sur les réseaux sociaux que les plus hautes autorités gabonaises veulent rétablir l’équilibre social, améliorer les conditions de vie des populations, font des dons pour mettre en oeuvre la politique de partage et de l’égalité des chances, etc, etc., et en évaluant les Retombées et les résultats sur le terrain de toutes ces annonces et promesses, nous en sommes arrivés à la seule conclusion qui compte: ce sont des aberrations.
En effet, comment un pouvoir qui possède autant de plans stratégiques, autant de ressources ( humaines, matérielles, financières…) peut seulement se contenter de faire des dons, peut seulement manifester des désirs, sans mettre en œuvre ceux-ci, sans réaliser ses promesses, et sans même se rendre compte de l’absence de résultats, autrement dit, de l’absence des services publics de base (logements publics, hôpital public, école publique, transport public, eau et électricité, sécurité publique pour la protection de nos frontières contre l’immigration clandestine et les trafics en tout genre, etc.).
Au final, selon notre analyse, seule une assemblée nationale, réellement représentante du peuple et indépendante du pouvoir exécutif peut freiner ces aberrations et contraindre le pouvoir exécutif à changer les conditions de vie des gabonaises et des gabonais.
La solution est là.
Débattons sans passion.
À demain.
PETIT-LAMBERT OVONO ÉVALUATEUR CERTIFIÉ DES POLITIQUES PUBLIQUES PRÉSIDENT DE SOGEVAL