La journée d’ouverture a été marquée par une immersion dans la culture gabonaise. Des danses traditionnelles gabonaises ont été présentées, illustrant la richesse et la diversité des rythmes du pays. Le public a également pu apprécier du slam, une forme d’expression poétique moderne, et découvrir les saveurs locales à travers des dégustations de mets et boissons traditionnels. Des expositions-ventes de produits artisanaux ont permis aux participants d’acheter des souvenirs uniques, symboles du savoir-faire gabonais.
Audrey Lapeby, co-organisatrice de l’événement, a souligné l’importance de mettre en avant les danses afro-latines telles que la Salsa, la Pachanga, la Kizomba et l’Afro. Ce festival vise à renforcer les liens au sein de la communauté gabonaise et à promouvoir un échange culturel avec les visiteurs internationaux. Les danses afro-latines, connues pour leur énergie et leur sensualité, trouvent ici un écho particulier dans le contexte gabonais, où le rythme et la danse occupent une place centrale dans la culture.
Deux soirées majeures sont au programme, prévues pour vendredi et samedi dans un hôtel de Libreville. Ces événements promettent d’être des moments forts du festival, offrant aux participants l’opportunité de danser sur des rythmes endiablés et de rencontrer des passionnés de danse du monde entier. Parallèlement aux soirées, une journée touristique à la baie des tortues est organisée, combinant découverte de la nature gabonaise et ateliers animés par des intervenants locaux et internationaux, enrichissant l’expérience des participants.
Le festival de danse afro-latine est plus qu’un simple événement culturel; il est un symbole de l’ouverture du Gabon au monde et de son engagement à préserver et à partager son patrimoine culturel. À travers la danse, la musique et la convivialité, le festival offre une occasion unique de célébrer la diversité et la richesse des traditions africaines et latines, renforçant ainsi les liens entre les peuples et les cultures.