Décidément l’état de santé du Président Ali Bongo Ondimba a fait développer chez certains apprentis sorciers des mentalités rétrogrades de douteuses.
Brice Laccruche Alihanga (BLA), le dynamique Directeur de cabinet d’Ali Bongo Ondimba n’échappe pas à la guéguerre que voue certains activistes « gabonais » à l’endroit des principaux collaborateurs restés fidèles et loyaux à l’égard du chef de l’État, après de honteux actes de forfaitures et traîtrises de 2016 attribué à certains ex proches.
En effet, dans un post récent publié sur la toile, l’ancienne strip-teaseuse de cabarets, Céline Alexandre, qui passerait pour une compatriote, décrit l’actuel et sémillant Directeur de cabinet du chef de l’État gabonais comme étant un personnage sulfureux. En réalité, il s’agirait d’un grossier montage mensonger visant à ternir l’image de BLA. Dont le crime chez Céline Alexandre serait de n’avoir pas satisfait à une demande d’oboles financières pour la voir sortir d’un pétrin dans lequel était englué.
Manifestement cette odieuse cabale contre BLA est inspirée par des régents de l’opposition gabonaise basée dans l’hexagone. Dont les stratégies visant à décrédibiliser des personnalités et hauts responsables du pouvoir ou proches de celui-ci auprès de l’opinion internationale. Pour preuve, l’ex stripteaseuse « franco gabonaise (?) » s’en prend au passage à BLA lors de son passage au sein du groupe BGFI Bank.
Si tel était le cas, en d’autres termes, si le groupe bancaire avait constaté des malversations financières il aurait saisi la justice. Ce qui n’a pas été le cas depuis le départ de Brice Laccruche Alihanga du groupe. L’homme ayant été promu à la tête d’autres entités.
Victime de ragots sortis de l’imaginaire de leurs auteurs et commanditaires, BLA subirait les foudres de la loyauté et fidélité affichés à l’égard du Président de la République. Dans la mesure où la réussite de Brice Laccruche Alihanga aux côtés du numéro un gabonais attise des jalousies là où beaucoup ont échouer.
Un engagement sans faille manifesté dans les multiples soutiens politiques à l’action du Président de la République Ali Bongo Ondimba dans divers plateformes.
Quand à Céline Alexandre, essayiste de la plume, après bien des séances de strip-tease infructueux dans les cabarets parisiens, se serait rapproche d’activistes gabonais pour se faire un peu de fric et mettre de la pression aux officiels du pays qui ne fonctionne pas à double sens.
Imbue de cette manne, la délurée se serait lancée dans des campagnes anti Ali Bongo Ondimba à travers blogs à charge. Alors que de mémoire de gabonais, personne ne semble avoir souvenance de ce quelle aurait concrètement réaliser au Gabon.