Revenant sur l’exercice dont s’était prêté le chef de l’Etat le jeudi 30 août 2018 dernier lors de l’émission face à la nation, le porte-parole de la présidence de la République, a réaffirmé la détermination du président Ali Bongo Ondimba à tout mettre en œuvre aux fins de mettre un terme au phénomène d’insécurité sans cesse grandissant dans notre pays.
Comme c’est le cas dans plusieurs autres pays du monde et en Afrique en particulier, l’insécurité constitue un problème réel au Gabon. Au vue de la situation actuelle du pays, il était plus que temps d’apporter des réponses urgentes en ce qui concerne la prévention des différentes infractions signalées dans la cité. «Comme le dit le président Ali Bongo Ondimba, un seul délit de commis, c’est déjà un délit de trop. Un seul crime, c’est un crime de trop. A cet effet, il y aura un renforcement efficace des équipes de patrouille dans les quartiers. Ou encore, la mise en place de moyens technologiques, en l’occurrence les caméras de surveillance permettant d’identifier les auteurs des infractions», a avancé Ike Ngouoni Aila Oyouomi.
Une mesure qui selon ce dernier facilitera des interventions rapides des forces de sécurité partout où le besoin se fera sentir. «En pratique, il ne doit pas y avoir d’impunité pour les ennemis de la sécurité. Ce sont les criminels et les délinquants qui doivent se sentir en insécurité et non les honnêtes citoyens», a-t-il déclaré. Des décisions qui ont l’espèrent, se concrétiseront, afin de mettre un terme à la psychose qui règne dans ce pays. Et va jusqu’à paralyser la population depuis ces dernières années, au point ou il devient impossible de sortir de chef soit où de rentrer à une certaine heure du jour comme la nuit.