C’est au rythme de cette assertion biblique que la présidente de l’Organisation non Gouvernementale ‘Femmes Ouvrières, Marie Julie Nse Ndzime est allée a la rencontre des gabonaises commerçantes au marche de Nzeng-Ayong dans le sixième arrondissement de Libreville afin de communier et de célébrer avec elles la journée internationale des droits de la femme.
Accompagnée de la représentante de la Banque de Développement des Etats de l’Afrique Centrale, Marie -Delphine Lemanga Emande et de la représentante de l’Onu-sida Beatrice Ndayeshinye, la présidente de Femmes Ouvrières a non seulement remis des attestions de formations aux femmes commerçantes, mais elle leurs a remis également des enveloppes contenant chacune une somme de 50000 fcfa.
« Cette argent est le gage de mon combat aux fins de sortir la gente féminine de la dépendance et de leurs permettre de diversifier leur activité a l’exemple de expatries qui vendent un peu de tout, vous aussi vous devez vous lever pour être autonomes financièrement » a dit Marie-Julie Nse Ndzime au sortir de cette cérémonie qui ne constitue qu’une étape.
Un geste salue à juste titre par les bénéficiaires du jour qui ont promis de mettre en oeuvre pour être de véritables artisans de solidarité. L’une d’entre elles M. Solange a d’ailleurs soutenu que « lorsqu’une femme se lève Dieu la bénit et tout devient possible ».