La pandémie du Covid-19 a frappé le Gabon, mais elle a été particulièrement lourde de conséquences pour les communautés qui étaient déjà vulnérables et qui sont plus exposées aux maladies.
En effet, notre capital inaliénable le plus précieux est notre santé. La santé est un droit humain. La banalité du quotidien peut devenir un combat. Car, se maintenir en santé, un impératif. Qui que nous soyons nous pouvons faciliter la vie d’autrui. Les Etats doivent agir sur les facteurs plus généraux qui déterminent la santé, notamment sur les plans social, économique et environnemental. La volonté politique et les partenariats seront indispensables pour le réaliser.
Face aux politiques publiques menées au Gabon dans le domaine de la santé et de la protection sociale, l’Etat doit de plus en plus promouvoir un système de santé, un secteur médico-social et social public et associatif non lucratif, incluant les soins primaires, la prévention, l’information, l’accompagnement psychologique et social, le soin relationnel, la prise en charge de la perte d’autonomie, la lutte en amont contre les causes des maladies.
En fait, tout est beaucoup plus compliqué, car des produits dangereux peuvent provoquer l’apparition de près de 200 maladies, dont la plus simple est la diarrhée. Les virus et les parasites, les bactéries pathogènes et les produits chimiques qui pénètrent dans le corps humain peuvent éventuellement provoquer le cancer.
Aussi, les Journées mondiales de la santé ont leur propre objectif et sont dédiés à un domaine de santé prioritaire. Elles contribuent à diffuser des informations non seulement sur les vecteurs et les maladies qu’ils provoquent, mais aussi sur la manière dont les populations peuvent être en sécurité et se protéger.