Pédophilie, homosexualité, deux questions qui, pour tout le monde, n’ont rien à voir entre elles, deux questions que, dans le football gabonais, on s’évertue à mélanger.
Il existe un lien fort entre homosexualité et abus de mineurs. Pourtant il n’est pas question d’amalgames, d’exagérations ou de déterminisme. Que cela soit bien clair. L’enjeu dépasse largement l’homosexualité. Patrick Assoumou Eyi dit ‘’ Capello’’ a profité de la vulnérabilité de jeunes enfants et de son statut d’autorité pour commettre ces agressions. Il s’agit ici d’une question d’abus de pouvoir plutôt que de préférences homosexuelles.
En effet, le pédophile vrai qui est attiré par ces enfants très jeunes n’est pas attiré par les adultes de l’un ou de l’autre sexe. Or, Patrick Assoumou Eyi s’attaque à des jeunes à peine pubères, des adolescents, la plupart du temps des adolescents mâles. Son travail de sélectionneur de l’équipe nationale des moins de 17 ans lui permettait d’approcher des garçons.
Lucide sur son avenir, le Gabon devrait avant tout ne porter d’intérêt qu’à l’hétérosexualité tendant à la création de familles les plus stables possibles.