Football/USO/Assemblée Générale élective: BIVEGUE BI ZUE SAMY, nouveau Président

Le feuilleton de l’union sportive d’Oyem (USO), marqué par des rebondissements de tout bord pour la tenue d’une Assemblée Générale Elective a connu son épilogue mercredi dernier à l’hôtel de ville, et ce dans un climat apaisé dopé par l’élan de l’unité de fils et filles de Nkoum-Ekiègn qui rêvent de faire retentir les couleurs d’USO, au plus haut niveau.

 

Salle comble, mercredi dernier à la salle de réunion de l’hôtel de ville ; les acteurs, les dirigeants, les autorités administratives et sportives se sont retrouvées pour suivre en live lesdites assises dont les pourparlers ont été menés par un fin manager en la personne de Hubert DALADIER MINAN FILS fondateur de l’USO, mandaté en cette circonstance par les instances faitières du football national de façon à aboutir à un résultat positif afin de sauver l’USO des eaux troubles dans laquelle, elle fut plombées depuis un certain temps. Sur la ligne de départs pour cette nouvelle mandature, il y avait sept (7), à mi-parcours, d’aucuns ont désisté, d’autres pour des raisons diverses pour rester que l’unique candidat, celui de BIVEGUE BI ZUE SAMY, qui a été porté à la tête du mythique club USO par Acclamation.

 

Ainsi donc celui qui se dit pur produit du foot d’Oyem a une vision, c’est une modalité à la Réal-Sociedad, celle de créer une ossature avec les jeunes d’Oyem c’est-à-dire rassembler le grand nombre que chacun apporte du sien. Et son ambition est de participer à une coupe africaine.

 

Le sortant ASSEKO TOURE qui a dirigé le club pendant 4 ans a présenté son bilan non exhaustif, lequel faut retenir, c’est un peu le problème d’argent qui l’emporte sur l’essentiel et que les cadres en majorité ne veulent pas s’impliquer dans la vie du club, au regard de ce qui précède, il a mis à son actif, plusieurs catégories et d’une équipe féminine dont les effectifs ont quadruplé à cela, il faut nécessairement un budget consistant pour un fonctionnement adéquat du club de manière à ce que USO reste Adzo ya Nlem (une histoire de cœur) pour les oyemois.

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