Dans l’optique de la vulgarisation et de la mise en oeuvre du Code de la communication en République gabonaise, la Direction générale du Ministère de la Communication, de l’Economie numérique et de la Poste s’emploie depuis 2016 à la réforme d’un secteur d’activité en déliquescence livré à l’informel et dans l’illégalité.
Parmi cette stratégie de restructuration, la Direction générale de la communication à instauré une attestation de dépôt d’agrément technique. Dont les frais ont été établi en fonction des tailles de chaque entreprise.
Un document qui, dorénavant, permet aux sociétés éditrices de presse à se formaliser vis-à-vis de la législation. Afin de pouvoir exercer librement leur activité en toute légalité conformément à la loi.
Malheureusement, dans notre pays, les uns n’aiment pas les bonnes choses, au point de passer pour du ridicule.
En effet, depuis la mise en application des recommandations du Code de la communication, on observe une volée de bois de la part de certains responsables de sociétés éditrices de presse.
Lesquels voudraient dénoncé, par des manigances hostiles, l’initiative du Ministère de la communication, de l’économie numérique et de la poste.
Une attitude irréaliste. Quand on mesure l’incurie qui trucide le secteur au Gabon.
A titre de rappel, l’agrément technique, d’après des sources de la Direction générale de la communication « n’est pas un parchemin, mais un outil qui permette d’assainir le secteur afin de le rendre crédible aux yeux de l’opinion gabonaise ».
Les contrefaits actuels et la réticence de certains acteurs démontrent à suffisance que nombreux sont ces responsables de sociétés d’éditions de presse, lesquels n’entendent pas à se conformer à la loi. Une volonté d’entretenir un bras de fer avec le gouvernement. Mais force reste à la loi.