Au cours de cette troisième journée, les discussions ont porté sur la nécessité d’utiliser des données climatiques validées par les administrations publiques, condition indispensable pour bâtir des projets crédibles et attractifs pour les bailleurs. Selon l’expert Alioune Seydi, cette exigence méthodologique constitue une étape clé pour structurer des projets dits « bancables », capables de mobiliser des fonds internationaux.
La méthodologie de la Théorie du changement (TdC) a également été présentée aux participants comme un outil stratégique permettant de concevoir des initiatives à faible émission de carbone et résilientes face au climat. Complétée par un cadre logique, elle favorise le suivi et l’évaluation des projets à travers des indicateurs précis, offrant ainsi aux bailleurs une meilleure lisibilité avant d’accorder leur appui financier. Les travaux se poursuivent jusqu’au 19 septembre 2025.

