C’est avec plusieurs heures de retard qu’à débuter, en milieu de matinée ce 6 octobre, les opérations électorales comptant pour les élections législatives et locales du centre de vote de l’école catholique de Nkok, dans le deuxième arrondissement de la commune de Ntoum, des fraudes en perspectives.
Un centre de vote, en dépit de la multitude de candidatures et de listes concurrentes, les électeurs vont devoir se plier au choix des SDG (Sociaux- démocrates gabonais) ou du PDG (Parti démocratique gabonais).
Les premières tendances issues des premiers votant semblaient donné pour favori le candidat SDG, Aloise Bekale Ntoutoume.
Du retard à l’allumage consécutif au tâtonnement de certains agents scrutateurs. Qui visiblement n’étaient pas préparé à la tâche pour assurer la crédibilité et la transparence du vote.
Trafic d’influence, organisation du processus électoral, achat de conscience, incitation au vote de certains candidats… Des actes réprimandés par la loi électorale posés ce matin dans ce centre de vote par des responsables politiques locaux du PDG, surpris la main dans le sac, alors qu’ils sont candidats à ces élections.
Toutes choses qui aurait entaché la sincérité du vote et considéré de fraude perpétrée par des représentants du parti au pouvoir. Dans la mesure où ces derniers ne pouvaient à la fois être juge et partie.