La nuit de jeudi 28 mars a été cauchemardesque pour de nombreux riverains victimes des dégâts causés par les adverses dans le grand Libreville suivi des coupures d’électricité.
Ces fortes pluies d’hier ont fait de plusieurs familles des sans-abri et des sans papiers. On observe ici et là des inondations dans les rues et quartiers de la capitale, des maisons immergées dans l’eau, des toitures sautées et des murs effondrés. Disons que l’on pensait il y a une décennie que seuls les quartiers sous intégrés de la capitale étaient au centre des inondations suite aux adverses. Les quartiers dits VIP comme la sablière et Angondjé le deviennent également.
On ne le dira pas assez. L’environnement ou la nature s’exprime également et leur porte -parole est le climat. Le réchauffement avancé de la terre entrainé favorise davantage des bouleversements climatiques. Nous avons tous constaté les fortes chaleurs ces dernières semaines. Elles annonçaient déjà l’arrivée certaine de ce type de pluies accompagnées de vents violents.
Toutefois, avec ces lancées de fusées effectuées sans cesse dans l’espace favoriseraient en grande partie ces changements climatiques au travers de la destruction de la couche d’ozone par laquelle traversent des rayons solaires de plus en plus forts engendrant ainsi une chaleur accrue. Il est bien beau de définir les forêts de l’Amazonie et équatoriale comme poumons du monde pour essayer de limiter les dégâts du réchauffement de la planète. La solution est ailleurs et simple. Il serait judicieux que de grosses industries créent des mécanismes de productions industrielles réelles favorisant la protection de l’environnement et que des lancements de fusés ou de voyages spatiaux soient limités au lieu de toujours semblant de tenir des sommets qui jusqu’ici ne tiennent rigueur sur la sauvegarde effective de la nature. Car notons -le, ce sont des pays sous- développés qui en paient le prix fort.