Annoncer à coup de campagne médiatique, la réfection des établissements du Gabon est très attendue par les voleurs de la république, lesquels procèdent en ce moment à la création des entreprises pour répondre à l’appel d’offres, avant de s’en fuir avec l’argent du contribuable. Même la Cours criminelle spéciale(CCS), ne fait plus peur à ces derniers, vu que Blaise Wada, lors de ses comparutions est souvent frais et tout mignon, ce qui prouve qu’il est vraiment un prisonnier de l’émergence.
Les bâtiments qui abritent ces établissements d’enseignement primaires ne répondent plus aux normes : murs fissurés, peinture défraichit, portes cassées, placards et toitures emportées, absence de toilettes, et autres.
En fait, la situation est presque préoccupante, il faut absolument améliorer les conditions de travail des enseignants et des élèves, aussi bien à Libreville qu’à l’intérieur du pays, pour prétendre avoir des bons résultats en fin d’année scolaire. Cet état de délabrement avancé devrait trouver des solutions.
Cette réhabilitation concernera, les travaux de menuiserie, de maçonnerie, de plomberie, d’électricité, de charpenterie, et autres. Mais seulement, il va falloir d’abord sélectionné les entreprises locales qui ont une expérience avérée, et qui sont à jour avec la fiscalité, et la C.N .S.S, pour que l’Etat n’enregistre pas une surprise désagréable au moment de la vérification des chantiers de réfection des écoles d’enseignements primaires au Gabon.
« Tout les moyens sont bon pour se faire de l’argent en ce temps de crise », a laissé entendre un opérateur économique, qui procède chaque année à des modifications de son activité, histoire d’avoir de l’argent et tenir la route, « nous faisons tout pour déjouer les barrières qui se présente à nous au moment de l’appel d’offres », a-t-il conclu.