Recensement biométrie de l’Etat : Trop de retard avec des machines capricieuses.

Cette opération rendue possible par l’Etat gabonais avec le concours des bailleurs de fonds qui n’est pas la première du genre vise une maîtrise de la masse salariale de la performance de l’administration publique, difficile de bien faire l’enrôlement avec des machines capricieuses qui se bloque à tout moment et qui a du mal a identifié les fonctionnaires vêtu du blanc. À cela s’ajoute le marchandage des fiches d’enquêtes par certains directeurs généraux et secrétaires généraux des départements ministériels.

Aussi, les premiers résultats de l’enquête étaient, au départ, attendus dans un premier temps pour le mois de juin 2019, aujourd’hui l’on se rapproche de la fin d’année. Peut-être que Madeleine va créer une surprise tout en ayant à l’esprit que « celui qui boude, bouge ».

Pour votre gouverne, la décision de l’enrôlement biométrique des agents publics avait été prise lors du Conseil des ministres du 29 mars dernier dont l’optique est l’assainissement des fichiers de la fonction publique.

Paul Essonne

Journaliste

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