QUID de la lutte efficace contre la Covid-19 au Gabon : quel bilan plus de trois semaines après ?

Encore une fois, notre pleine implication par réseaux sociaux interposées, ne saurait être mal interprétée. Celle-ci s’explique par l’implication sans réserve du Président de la République et de beaucoup de Gabonais qui aiment notre pays.

De plus pour parvenir à vaincre ce virus, il faut l’implication de tous les citoyens sans exclusive. Parmi les citoyens les professionnels des médias publics et privés.

Or, à en croire les sons des sirènes, quelque chose ne va pas chez cette corporation pourtant nécessaire pour le combat engagé.

Au Gabon, les gens continuent de penser qu’ils peuvent tout faire sans la presse privée. Cette maxime longtemps entretenue par les politiques notamment gouvernementaux est aujourd’hui aux antipodes.

Il n’existe pas de succès dans toute entreprise sans transparence. Et les médias sont ainsi fondés pour la promouvoir. Ali BONGO ONDIMBA qui croit et compte sur ses compatriotes pour faire bouger les choses dans notre pays. Pour l’épauler avec succès et sérénité, les médias doivent être comme tout corps d’élite. Il faut donc, dès lors que des moyens sont alloués par Ali BONGO ONDIMBA, qu’ils soient utilisés à ces fins.

Ali BONGO ONDIMBA prône la solidarité, la presse dans son entièreté doit défendre la démocratie contre les détournements, la corruption, le copinage qui ont longtemps gangrené notre vivre ensemble ainsi que la cohésion sociale face à une crise sanitaire mondiale qui fait des milliers des victimes dans tous les continents.

La presse Gabonaise ne restera pas bouche cousue devant ce complot.

Que ceux qui sont détenteurs et gestionnaires des fonds affectés à la lutte contre la Covid-19, les débloquent pour que le succès soit concret.

Les personnes désignées à cet effet ne doivent confondre les sacrifices du Président de la République et de l’état avec leur patrimoine ancestral.

D’ailleurs nous en appelons à un débat public à la Télévision afin que les Gabonaises et les Gabonais puissent donner leur point de vue au moment où la deuxième période de confinement encadré par l’État d’urgence est entrée en vigueur.

Face à ce complot insidieux qui semble Profiler à l’horizon de cette crise, nous invitons toute la presse à la solidarité et à l’action commune.

CAR TROP C’EST TROP.

Partagez ce plaidoyer sans modération si vous voulez que les sacrifices ainsi consentis portent des fruits au profit de tous.

Je suis : Amal Jean Maurice MBOUMBA-IBINDA

 

Journaliste

Paul Essonne

Journaliste

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