Les ennemis de la république(encore) en conclave au Cap Estérias.

Les ennemis de la république se sont retrouvés une fois  au Cap Estérias plus précisément à la Dounia, lieu sacré des membres du gouvernement et des parlementaires du PDG, un parti au pouvoir qui existe depuis 1968 et qui dirige le pays avec beaucoup de manquement malgré leur  majorité à l’assemblée nationale et au Sénat. Le peu d’habitant qui existe dans cette partie de la corne de l’Afrique, un million huit il parait un peu que subir, car rien ne change ceux qui hier était avec le pouvoir se retrouve aujourd’hui à l’opposition bref !

Lors de cette messe Julien Nkoghé Bekale incapable de rendre paraticable la route Pk 12/ Ntoum en toute saison ou encore Ntoum Cocobeach a encore une fois de plus réitéré son engagement à promouvoir le dialogue entre toutes forces vives de la nation. Nkoghe Bekale parle de quel dialogue au moment où pendant qu’au moins cinquante entreprises mettent la clé sous le paillasson avec les mises en sommeil (référence CNSS). Nkoghe Bekale se moque de qui lui qui se la coule douce en juger par son en bon point, l’on n’a même l’impression qu’il risque d’explosé(richesse quand tu nous surprend).

Il parait que la rencontre s’inscrivait clairement dans une approche de complémentarité et de synergie favorisant l’émanation d’un corps fort à travers  un dialogue avec tous les acteurs sociaux et politiques du Gabon, n’est pas celui- là qui avait décliné l’invitation d’un regroupement de syndicat conduit par Emmanuel Mvé Mba, lequel cherchait à rencontrer le président de la république Ali Bongo Ondimba.

Au centre de la rencontre,  les réformes multisectorielles il faut que Nkoghe Bekale le sache ne rencontre pas l’assentiment des travailleurs, que dire des mesures prioritaires dont il fait allusion, il s’agit même de quelle mesure, et pour terminer il parle du dialogue multidimensionnel et permanent, vraiment les travailleurs pensent que Nkoghe Bekale veut tout simplement leur vendre du vent.

Les rencontres de la majorité il faut avoir le courage de le dire n’aura accouché que d’une souris, car comment comprendre que le PDG est aussi bien majoritaire à l’assemblée nationale qu’au Sénat, que dire de certaines institutions on du mal à s’occuper d’un peuple d’au moins un million d’habitant.  Heureusement que la honte ne tue pas.

Paul Essonne

Journaliste

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