59ème anniversaire du Gabon : Les conditions de vie des Gabonais.

Le discours d’Ali Bongo Ondimba le 17 août dernier s’inscrivait dans la cadre de l’accession du Gabon à la souveraineté internationale, confirmait une fois de plus son  assurance à l’endroit  des Gabonais en se concerne l’égalité des chances.  « En effet, l’égalité des chances doit s’appliquer aussi bien aux personnes qu’aux organisations et institutions du pays, quels que soient les lieux et les niveaux. Ces perspectives de développement ne doivent pas se limiter aux grandes villes. Il est de notre responsabilité, pour nous les dirigeants politiques, de nous préoccuper du sort de nos concitoyens de l’intérieur du pays. Nous devons tout mettre en œuvre pour renforcer la décentralisation via des approches innovantes comme le Fonds d’initiatives départementales lancé en 2018.

Pour le président Gabonais, les Gabonais ont droit à des conditions de vie dignes, comprenant l’accès à l’eau, au logement, aux transports publics, à l’éducation, à la santé et au travail. L’exode rural ne saurait être la seule perspective professionnelle de notre jeunesse, souvent marquée par le chômage comme dans le reste du monde.

Des besoins sociaux de base très capitale pour un pays qui se veut émergent. Mais avant des solutions concrètes seront élaborés avec l’implication des membres du gouvernement pour développer l’emploi des jeunes et les compétences dont l’économie a besoin.

Le domaine agricole, ne sera pas en reste avec  les services comme la santé. Pour Ali Bongo Ondimba, il faut inculquer aux Gabonais de moins de 25 ans une culture de la performance, de l’intégrité et de l’amour du travail. Nous devons aussi établir un système méritocratique permettant aux personnes talentueuses, compétentes et  déterminées de progresser afin de bâtir une nation puissante.

Depuis le 17 août 2017, le pays s’est engagé vers l’horizon qui avait été fixé à savoir le renforcement de l’unité nationale et l’Etat de droit, la réalisation d’un certains nombres d’édifices sans oublier le développement économique.

Le président Gabonais à terminer son allocution en rappelant un dicton du Gabon :   « Un seul doigt ne lave pas la figure ». Une seule personne ne suffit pas à édifier une Nation. J’ai besoin de chacun d’entre vous pour que la nôtre soit encore plus forte et prospère ».

Fort de ce qui précède, et le moins que l’on puisse dire est que le peuple gabonais qui lui a exprimé son attachement à sa personne et a ces idéaux politique peut alors prendre acte.

Obone Flore

Journaliste

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